Je suis l’enfant maudit du Rock. Ca sonne tellement mal… Quel rockeur n’est pas maudit ? Dites-moi ?
Je pourrai vous nommez un nombre incroyable de rockeur qui ont mal finit. Bien évidement, aucun anglais n’ont mal finis…Je pense être la première star du rock anglaise à mal finir. Ce serait un honneur de marquer le début de la décadence de notre belle Angleterre.

Londres ; 20 décembre.

Je ne vais pas vous la faire originale. Je suis née au mois de décembre, à Londres. Il pleuvait, comme toujours, la ville était sous la brume comme toujours… Si ce n’est qu’elle était à un concert de rock. Je pense que depuis ma naissance, voir plus, j’ai baigné dans le rock.
D’après les dire de ma mère, ce fut à un concert de grunge que j’ai été conçue…Et j’ai aussi été évacué lors d’un concert de rock.
Ma vie, va surement vous semblez mouvementé, trépidante. Mais je l’aurai échangé contre n’importe laquelle d’entre vous.
Un solo de guitare de trop, et ma mère perdit les os. Je vous aurai bien raconté que de suite, folle de bonheur elle se rendit à Sainte Mangouste pour accoucher.
Et bien… Que nenni. Elle resta au concert ce jour là. Laissant le sang perdre, couler, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus supporter les contractions. Là, elle se fit une petite dose de shoot, pour ne plus sentir la douleur et rester…
Je suis née ainsi, sur un brancard d’urgence dans les coulisses d’un concert… Ma mère était folle de joie de voir le groupe en arrière, elle était enfin proche d’eux.
Une fois moi évacuée des eaux maternel, le groupe de rock dont était fan ma mère (pas dur, elle les aimait tous), virent voir ce qui provoquait autant de remue ménage.

J’ai été baptisé par l’un des membres du groupe…Enfin, par les membres du groupe. Je pleurai, le chanteur me prit dans ses bars, et me surnomma Miss Love, un autre membre dit à ma mère qu’Aliera serait un prénom parfait, qu’il irait avec l’amour qui tournait dans les concerts…
C’est ainsi que je suis née, fut nommée et que ma vie de merde commença.

J’avais 5 ans, en 5 ans je n’étais jamais restée au même endroit de toute ma vie.
Ce groupe de grunge, ce groupe, ma mère les avait suivit partout où ils allèrent depuis ma naissance. J’ai grandis ainsi, sur les routes, dans un bus ou dans un avion, sur des scènes de concert.
Vous devez surement connaitre des chansons avec mon prènom où ce qui fut mon nom de famille. Il y en a tout un tas. Avec ces chansons vous pourrez retrouvez mes premiers mots, mes premiers pas (je crois qu’il y a une vidéo de mes premiers pas sur ce qu’on appelle la Télévision chez les moldus, lors d’un concert), toute ma vie.
Ma mère était aux anges. Moi je me demandais quand j’allais avoir une maison, une famille comme celle des autres enfants. Je ne fréquentais que des stades, des salles de concert, des terminaux d’aéroports… Rien de ce que j’aurai du faire à cet âge… Vous savez, faire des pâtés de sables, joué à la barbie, avoir mon premier amoureux…
Non. A cet âge là, j’apprenais à jouer de la guitare… Je chantais, je ne faisais rien qui puisse vraiment m’amuser… Je dansais dans les coulisses, enfin, parfois… Je voulais devenir avocate où quelque chose du genre pour avoir ma propre maison avec un chien, où des chats…

Ah oui, je ne vous ai pas dis ? Ma sorcière de mère fréquentait des moldus, aucun sorcier, où presque, seulement des moldus… Mon père ?
Ne me demandez pas, même elle ne sait plus qui l’a mise enceinte, elle était trop défoncée, elle est toujours trop défoncée…
D’ailleurs, ce fut pour cette raison que l’on me retira de sa garde. Trop de décadence, pas assez de stabilité pour un enfant de mon age.
La dose de drogue de trop fit tout…Et rien à la fois. Love, my Love, comme l’on m’appelait dans le groupe fut emporté au loin… Loin de leur monde étrange, d’une vie de moldu.
J’étais enfin dans une maison, avec des gens là pour m’instruire, m’apprendre autre chose que le sexe, la drogue, l’alcool, le rock…

Une vraie vie, où presque commença alors.
J’ai vécus 5 ans dans ce que l’on appelle une maison de redressement…Enfin, plus exactement, une maison pour jeune fille du monde.
Là-bas, j’y appris le respect, le piano, des sortilèges, a lire et a écrire. Je sus en 5 ans tout ce que n’importe quels parents apprirent à leurs enfants, voir plus !

J’étais devenue une enfant prodige de la musique. En 5 ans je n’avais pas revu ma mère, je n’avais jamais reçus de ses nouvelles contrairement aux autres enfants qui voyaient leurs parents assez souvent. Je ne recevais aucun cadeau à mon anniversaire…Rien, jamais.
Le seul courrier que je recevais était une revue musicale « rock » de sorcier que le hibou de la maison m’avait offert pour mes 7 ans.
Mon premier vrai cadeau.

Je ne vous raconterai pas mon enfance lors de ces années, à vrai dire il n’y a rien à raconter.
Le jour de mes 10 ans, l’on vint me cherché. Un homme, un grand homme plutôt beau qui semblait avoir vécus, lui…Bien qu’il soit plutôt jeune.
Il ressemblait à ces adulateurs de rock, et franchement, j’us peur en le voyant, je me demandais s’il était mon père et surtout pourquoi il venait maintenant ?

Heureusement, je m’étais faite de fausses idées, il n’était pas mon père mais le bassiste du fameux groupe qui m’avait élevé durant un an… La manière dont il chantonnait mon prénom et mon nom me faisait froid dans le dos. Je le regardais, méfiante… Qu’est ce qu’il pouvait bien me vouloir à moi ?
Il m’avait touché les cheveux, regardant la couleur de ceux-ci, septique… Puis, il m’observa, durant quelques minutes pour enfin, finir par me dire que je ressemblai à ma mère.

« Love love love… Je vais t’emmener dans un pays magique. »

Ma carrière commença ainsi… Ma mère défoncée sur la banquette arrière de la voiture dans laquelle on me fit montée, quelques membres de groupe une bière à la main… Le chanteur avait fait une overdose, ils avaient besoin d’une nouvelle icône pour sortir du tas, quelque chose d’innovant… Et d’après ce que j’avais comprit, c’était ma mère, cette garce, qui me proposa. Au moins, tous savaient que je ne pourrai jamais les laisser tomber, vu que j’allais de nouveau être sous la responsabilité parentale…
Ce fut le début de la fin.

A force de menace, de coup, je finis par m’adapter à leur style de vie. Je les regardais boire, se droguer et coucher avec des filles. Je me demandais souvent ce que j’allais faire pour m’en sortir, quitter ce monde de pourri. Je voulais plus que tout avoir mon Independence, mais pour l’avoir il fallait qu’ils m’accordent un minimum leur confiance afin que j’aille voir un avocat et que je prenne un agent.
J’avais besoin de soutiens, je n’avais que 10 voir 11 ans…

Ma libération vint enfin. Poudlard m’envoya une lettre pour que j’aille en cours. Ma mère ainsi que le groupe essaya de me garder auprès d’eux, mais par une chance inouïe le directeur en question envoya des personnes du ministère de la magie pour me récupéré.
Je ne retournai jamais vers ma mère. J’avais réussis quelques mois après mon entrée à Poudlard à me libérer de l’autorité parentale.

Ce fut à cette occasion, que moi, première année, je créai mon groupe de rock. Le début de la gloire.
Comment vous expliquez qu’à l’âge de 11 ans j’étais déjà plutôt bien connue ?
J’avais tout simplement un joli minois, un style vestimentaire propre mais aussi une voix bénie des dieux. Il ne me fallut que quelques mois pour que mon groupe tourne bien, nous avions du succès sur Poudlard, mais aussi en dehors.

Et toujours, entre deux cours, je révisais, écrivais mes chansons mais aussi jouais de la guitare. Elle ne me quittait jamais. Jamais.
Je ne vais pas vous décrire mes années à Poudlard. Elles sont soit trop personnelle, soit bourré de concert, révision et autre.
Je vais juste vous racontez des bribes.

Nous devions être au mois de Mars, lors de ma 3éme année, quand je reçus une lettre de ministère. Ma mère venait de décédé, je recevais en échange tout ses biens, et quel ne fut pas ma surprise en voyant tout l’argent qu’elle avait amassé avec ce stupide groupe !
Vous allez trouver cela triste, mais je ne suis pas allée à son enterrement. L’on me fit part de ce qu’il se passa lors de celui-ci. Son groupe far, qui était à présent ruiné se battirent lors de la cérémonie, puis l’un d’entre eux fit une surdose de cocaïne.
Le tout, finit dans une ébauche totale des invités qui eux aussi, étaient du même genre de ma prostituée de mère.

Vous allez trouver cela triste, mais je ne suis pas allée à son enterrement. L’on me fit part de ce qu’il se passa lors de celui-ci. Son groupe far, qui était à présent ruiné se battirent lors de la cérémonie, puis l’un d’entre eux fit une surdose de cocaïne.
Le tout, finit dans une ébauche totale des invités qui eux aussi, étaient du même genre de ma prostituée de mère.

Ce fut la première fois pour moi que je quittais Poudlard sans réellement trop savoir où je devais aller et ce que j’étais censé faire. Je m’étais attendue à ce que l’on m’envoie dans une famille d’accueil où bien dans un foyer. Mais ce ne fut pas le cas. Je ne reçus aucune nouvelle de personne. Sur le quai du Poudlard Express, mes affaires et moi, j’attendais. Assise sur ma male, je me demandais si l’on viendrait me chercher où si j’allais devoir me déplacer jusqu’au Chaudron Baveur où je louerai une chambre pour les vacances… Il n’y avait plus personne sur le quai lorsqu’une vielle dame se rapprocha de moi et m’observait d’un air dédaigneux. Elle me regardait comme si elle venait d’hériter d’un parasite dont elle n’aurait nullement besoin.

« Tu es bien Aliera ? La fille de Calypso ? »

Calypso ? Je n’avais pas entendu ce nom depuis des années, c’était celui de ma mère. Personne ne l’appelait ainsi. Pas même ses amis les plus proches. Je fis un signe d’affirmation de la tête. Je commençais à me dire que cette vielle femme rabougrit pouvait être ma grand-mère. Comment ma mère avait-elle pu avoir une telle mère ? Elle respirait la restriction.
Elle m’ordonna de la suivre. Ce que je fis, avais-je réellement le choix ? Suivant la vielle femme, nous primes l’une des cheminées pour se rendre chez elle. C’était une vielle bâtisse, l’intérieur était sombre et peu encourageant. Elle appela une bonne qui m’installa dans l’une des chambres. Une chambre bien plus grande que tout ce que j’aurai imaginé. A priori, vu l’état de cette chambre, elle n’avait pas été utilisé depuis des années.

Durant mon été, je ne revis la vielle dame qu’une fois par semaine au souper du dimanche. Elle n’était jamais présente durant la semaine. J’avais rapidement appris qu’elle vivait dans une autre demeure. J’étais devenu le vilain petit Canard d’une famille que je ne connaissais pas. Plus tard durant l’été, la vielle femme m’apprit que je ne retournerai pas à Poudlard. Elle considérait le niveau de l’école trop faible et je me devais d’apprendre un VRAI métier. Elle avait tellement insisté dessus, que j’avais rapidement compris que la musique, pour elle, n’était que des balivernes. La musique… C’était ce qui me faisait vivre…
Je savais que je ne pourrai rien dire. Elle ne me laisserait pas retourner à l’école tant qu’elle le désirerait.
Je finis donc mes études dans le petit manoir où je vivais.
A mes 17 ans, l’on m’apprit que ce manoir était mien. C’était ce que j’avais hérité de ma mère. Il avait donc été temps d’y faire des changements. Malgré la colère qu’avait ressentit ma grand-mère pour ce que j’avais fais, je fis jeter tout les meubles de la maison. Changea la couleur des murs, éclaircit toutes les pièces et donna un coup de balais dans le design des pièces, rendant l’endroit réellement plus chaleureux.

Enfin, il fut temps pour moi de continuer mes études. Ma grand-mère m’avait poussé dans la médicomagie. Ce fut sous ce thème que j’étais entrée à l’université. Tout s’y passait bien, enfin, jusqu’à ce qu’elle soit détruite et que je doive retourner à Poudlard….