C'est juste une nuit de plus... Une nuit tu vois, où je traine prés de Poudlard sans m'en approcher... Où je me libere. Depuis que le puma m'habite... Ou que je le dompte. Je ne sais plus qui est qui. Je ne sais plus si je suis cette fille perdue... Ou l'animal absent. L'animal bruyant. C'est tellement facile de detourner la securité de Poudlard. Il ne m'avait pas fallu longtemps. Les toits de Pré au lard... Eviter les briques qui glissent. Eviter le verglas. Le gel. Et puis la foret... Mes pattes. Puissantes etaient utiles. Agile je sautais de toit en toit jusqu'en bas. Jusqu'a la foret où la liberté était ma reine. Ma deesse. Liberté. Liberté... Je suis libre la tu vois. Mes pattes touchent le sol, et je suis libre. Libre d'être l'animal que je retiens la journée. Les nuits sont mes amies. Et oui, peut être que depuis que j'ai reussi ma transformation je suis fatiguée. Epuisée la journée. Je vis la nuit. Je dors le jour. Je gache mon existenceEt pourtant... Et pourtant je suis la. Parce que j'ai besoin de savoir comment ils vont sans oser m'en approcher.

Je suis libre. T'as pas idée toi de ce que c'est de ressentir la liberté. Je vois des couleurs que je n'avais jamais vu. Mon odorat est different. Je sens l'odeur du sang de ce chevreuil que les centaures ont tué il y'a douze minute. Je vois dans le noir. Je vois la vie d'une façon difference. Je vois. Je ... vis differement et j'en suis ravie je crois dans le fond.

La foret interdite. Elle attire tout le monde, meme les durmstrang hein... ? Tout le monde y finit un jour ou l'autre. Ça doit être le terme "interdit" qui fait tripper tout le monde. Toi la premiere Luka. Je sais pas vraiment me tenir. Mais je sais que quand je suis humaine je suis la premiere à y'aller. Pourquoi ça changerait hein... ? Je sens une presence non loin. Je sais qui c'est. C'est El. L'ami etranger... C'était quand notre rencontre... ? Je sais plus. Hier soir peut être ? Avant hier ? Je perds notion des jours, mais il m'a connu puma avant de me connaitre humaine. Me connait il humaine... ? Je ne sais plus. Je sais juste que je l'aime... bien. Que c'est agreable qu'il me papouille. Il est le premier a m'avoir vu ainsi. Ça crée un lien je crois. Et je me pointe, devant lui. Museau de puma tout chou. « Mrawwo. » Je suis... chiante en puma aussi vous savez ... ?

As I, turn up the collar on my favorite winter coat. This wind is blowin' my mind. I see the kids in the street, with not enough to eat. Who am I, to be blind ? Pretending not to see thier needs. A summer's disregard, a broken bottle top. And a one man's soul. They follow each other on the wind ya' know. 'Cause they got no where to go. That's why I want you to know. I'm starting with the man in the mirror. I'm asking him to change his ways. And no message could have been any clearer. If you wanna make the world a better place. Take a look at yourself, and then make a change.

Pourquoi est ce que les choses les plus interessantes sont considérées comme dangeureuses pour les pauvres petits enfants ? Une forêt interdite non mais franchement on n'a pas idée. Une forêt c'est fait pour que les élèves aillent faire les fous dans les buissons et étendre des serviettes sur l'herbe. Pas pour abriter des créatures moches. En tournant la tête, El se demanda si quelqu'un était déjà aller au bout de la forêt pour voir ce qu'il y avait. Foutre le camp d'ici avait l'air facile.

Une brindille craqua derrière lui. Il se retourna une nouvelle fois et vit ce pour quoi il était venue. Il sourit et s'acroupit en tendant une main vers le puma qui venait d'apparaitre. Il savait qu'il n'y avait pas vingt pumas chaleureux et amateur de papouilles dans cette forêt. Luka. Il n'était pas prêt d'oublier comment il l'avait caressé lors de leur première rencontre. Il avait eu peur aussi, de se faire bouffer, de se faire tuer en Angleterre loin de chez lui. Au lieu de ça, il avait passé une partie de la nuit à caresser une fourrure douce et quelque chose lui disait qu'il était près à recmmencer.

"Salut Luka."

Sa main s'approcha mais ses doigts tremblaient légèrement. Oh, il a affaire à un puma là, une grosse bête qui mord et qui griffe. Qui pourrait encore le déchiqueter vivant. Ca serait vraiment con mais bon.

"Viens là. Je ne vais pas te faire de mal."

Papouille, papouille, papouille. Il avait envie de la tenir chaude contre lui. Pourquoi ? Bah ... On s'en fout un peu non ?

]

C'est El. El il est classe, il est chou... Il vient de Durmstrang et par les sonorités de son accent il me rappelle cette vie que j'ai voulu fuir. La suede... ? Quoi... ? Et ce soir je suis libre.. Mais pas tant que ça. Parce que les pulsions animales sont etranges. Je ne suis pas trés papouille sous mon état normal, mais la... Mais la quoi... ? J'ai juste envie de gratouille, juste envie qu'il passe ses bras puissant autour de mon corps et qu'il me fasse des calins. J'ai... besoin d'apprendre que l'on m'aime... Parfois. Je crois que ce soir c'est soirée deprime malgré la liberté que je ressens. J'ai juste une gueule de gros chat triste. Salut Luka dit il, en tendant timidement sa main vers moi. Je te mordrais pas El. Je me controle... Je crois. J'essaye du moins. Et je m'approche de lui en lui faisant une lechouille sur la joue. Je vais pas te faire de mal El. Promis je te ferais pas de mal. J'espere qu'il le lit dans mon regard, parce que les pumas peuvent pas encore parler dans ce monde...

Sa main rentre en contact avec mon pelage, et je... fais quelque chose que je n'aurais pas imaginé. Je ronronne. Et oui. Luka sait ronronner. Si les gens savaient ça. Je ne suis pas que sarcasmes, cynisme et je m'en foutisme n'est ce pas... ? Je suis .... Une machine à ronron... Je suis quelque chose qui fait des calins. Allez hop... Je frotte ma tête contre sa main. Ca veut dire... Fait moi calin. Fait moi calin. Fais moi caliiiin !

« Mroooww. Mrowwwww.» La machine à ronron ne s'arrete plus ! Je suis dechainée ce soir.... Un gros chat. Grosse peluche. On s'en fiche que je sois un puma, ça fait plus de partie à gratouiller. Je suis plus grosse qu'un chat c'est tout. Rooh... Allez ! J'ai toujours revé de faire ça. Lechouille un peu rapeuse sur la main et je me couchais sur le dos les pattes en l'air. Owhouiiiiiiii grattouille moi le ventre. ! Allez El. Joue le jeu un peu. gratouille moi ! Mais surtout... Que rien n'echappe. Je suis tellement loin de la Luka humaine. Tellement... Pas comme ça. Tout est different. Une chose est sure. Lui. Je veux être sa peluche. Il caline bien ! NAAAH !

As I, turn up the collar on my favorite winter coat. This wind is blowin' my mind. I see the kids in the street, with not enough to eat. Who am I, to be blind ? Pretending not to see thier needs. A summer's disregard, a broken bottle top. And a one man's soul. They follow each other on the wind ya' know. 'Cause they got no where to go. That's why I want you to know. I'm starting with the man in the mirror. I'm asking him to change his ways. And no message could have been any clearer. If you wanna make the world a better place. Take a look at yourself, and then make a change.

Ce puma est vraiment magnifique et en plus il fait des calins. El le gratouilla. Petit puma, petit puma. Tu es tout beau et tu ronronnes petit puma. Petit puma. Petit puma. El chatouilla le derrière des oreilles du Luka et ne put empêcher un rire. Elle était très belle en animal et il aimait bien le bruit qu'elle faisait. Il la trouvait belle. Il caressa sa fourrure rendue fraiche par la nuit. Il la lacha pour resserer son écharpe.

"T'es vraiment adorable comme puma toi."

Il ronronnait en plus. C'était vraiment une brave bête. Euh, non, c'pas ça. Il savait que dès qu'elle redeviendrait humaine, elle ne la laisserait surement pas s'approcher. Pourtant la seule fois qu'il l'avait vu sous sa forme humaine, il l'avait trouvé belle aussi. Les Anglaises étaient vraiment différentes des filles de Dumstrang. Plus fragiles, plus bronzées. Pas pareil quoi. Il s'assit sur la terre fraiche. Barf, tant qu'à faire.

"Tu veux pas redevenir humaine ? C'est pas pratique pour parler ..."

Il pouvait toujours continuer à parler tout seul en guettant ses réactions, mais il n'était pas sûr d'en être capable. A par elle, il n'avait pas souvent approcher un animal d'aussi près. Mais avec Luka, c'était pas pareil. C'était comme irréel. Il aurait pu rester là longtemps, pourtant à un moment, elle serait de nouveau elle. Un jour, la nuit allait finir.

Il aurait bien voulu être un animal aussi. Ils auraient pu se comprendre.

Si quelqu'un qui le connaissait arrivait maintenant, il l'aurait pris pour un fou et il aurait fait peur à Luka. Pour rien au monde il n'en avait envie.

HS : Pardon c'tout pourri

[HJ = Mais non c'est chou ]

J'etais une grosse peluche. Adorable. C'est El' qui le disait. J'etais adorable. Oh bien sur... Je le comprennais... Normal. J'etais adorable... Sous cette forme la du moins, et du coup je profitais un peu de ses caresses, c'était plus doux, plus tendre. Quand j'étais comme ça, j'avais l'affection dont je manquais la plupart du temps. Mais voila, les papouilles tout ça, c'est peut etre agreable un temps, cela dit je comprennais sa frustration, il ne me comprennait pas... Et j'etais frustrée de ne pas pouvoir parler. Le jour ou les animagus pourraient parler, ça serait ... tellement mieux.

Du coup je lui faisais une lechouille sur la joue, puis je me reculais un peu... Et dans un nuage de fumée je reprenais forme humaine. La... C'était mieux. J'avais un sort qui me permettait de reprendre forme habillée. C'était plus pratique. Hou... il faisait pas chaud... Je souriais un peu . « Mroow ? C'est mieux comme ça hein ? .» Et paf, je m'asseyais a coté de lui.

J'aimais bien El. J'aimais bien son esprit, sa façon de parler. Il etait doux... J'aimais la façon dont il me traitait quand j'étais en animal. Une peluche precieuse et sauvage. Ça me donnait envie de le caliner quand j'étais sous forme humaine... Mais sous forme humaine les calins me faisaient peur. C'était... compliqué. J'étais compliqué. J'étais une fille complexe hein.... ? « Tu n'as pas trop froid ?.» Essayons la tendresse. La douceur. Je sais pas... ? Je suis pas si douée que ça pour parler...

« Qu'est ce que tu faisais la cette nuit ? » Et bien sur, tu peux me renvoyer la meme... ? Et bien sur, ça fait des sujets de conversations mais... ? Je suis curieuse. Et un peu inquiete... Je sais pas ?

La conversation je ne sais pas. Avec lui ça avait l'air tellement simple. Meme rester en silence ne me derangeait pas. Il était vraiment quelqu'un de bien. Je l'avais senti alors que j'étais un animal. Dans sa façon de me frotter le dos. Bien sur en humaine je ne pouvais pas le caliner comme ça. Qu'est ce que les gens penseraient. Les gens penseraient que Luka avait rejoint le droit chemin et qu'elle s'était trouvé un homme. Ouais peut être. Mais non. Je ne .. Ce n'etait pas ça qui me derangeait. Je ne sais pas pourquoi... Humaine, je n'étais pas caline. Juste... Je ne sais pas. Ça ne se controle pas. Alors du coup j'etais assise à coté de lui, et je lui parlais du froid. Chez lui hein... Oui bien sur. Je souriais un peu. . « Je ne sais pas... Si je t'ai déja demandé. Tu viens d'où exactement ? .» Histoire de parler peut être un peu. Je sais pas. J'avais... envie de lui parler. Je l'ai dis. J'étais en confiance. Ça faisait du bien. Ça faisait plaisir. . « Je suis née à Karlstädt. .» Suede. Je pense qu'a son accent il n'était pas Suedois. Norvegien dirais-je... Mais je n'en suis pas sure. On verrait... ? Ça faisait un sujet de ...

Ohhh. Je venais d'avoir les yeux qui rosissaient d'un coup. Pas mal sous ma forme humaine hein. Je riais un tout petit peu et je le prennais dans mes bras comme ça. . « Estime toi chanceux ! LVH n'est pas quelqu'un de calin. » Et toc. Un bisous sur la joue. Oui, je pense qu'il pouvait s'estimer chanceux aussi. Mais j'avais moi aussi de la chance. Je sentais que la nuit en sa compagnie pouvait être... amusante. Agreable. En tout cas je n'avais pas eu de reponse pour savoir ce qu'il faisait ici de nuit. Mais tant pis hein... Je souriais un peu.

. « Tu sais, la foret interdite. C'est dangereux ! On y croise toute sorte de creature la nuit. .» Un petit rire. . « Genre des puma sauvages. .» Un petit rire. Je me rendais compte que je le tennais toujours contre moi. . « Tiens, quand j'ai cette forme. C'est toi la peluche. »