Marilyn J. Andrewsse ballade sur la
Carte du Maraudeurfais moi un bisou mmmwwaa !!!
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 |  Sujet: ça chauffe après le bar (pv jen)  Dim 12 Fév - 18:52 | |
| Virgil fut entrainait par le jeune poufsouffle dans l'école, une bonne petite trotte qu'ils passèrent à courir, ou du moins lui était presque trainé par Jen tellement ce dernier allait vite. On aurait dit fruits basket avec Kyo se faisant trimballer par Kagura dans les rues de la ville. Ils arrivèrent au château et là encore Jen avait vraiment les idées en place, il l'emmena au premier étage et claqua la porte de la salle de métamorphose derrière eux. Virgil n'eut le temps de se rendre compte de ce qu'il se passait que le jaune lui sauta presque dessus. Leurs deux bouches collées l'une à l'autre, les mains de Virgil glissait le long du corps du poufsouffle. Il reculait, encore et encore jusqu'à se retrouver dos sur une table, et plus précisément sur le bureau du professeur. Le gryffondor frissonna mais une petite douleur dans le douleur lui fit s'échapper un :
"outch!"
Virgil passa sa main sous son dos, il s'y trouvait une plume bien pointue qui venait de le piquer. Il tourna sa tête et son regard sur le visage de Jen, se mordit la lèvre, jeta un peu plus loin la plume et attrapa sauvagement les cheveux du jeune homme, l'embrassant en pleine bouche une véritable galoche que Jen n'était pas prêt d'oublier. Le gryffondor fit glisser ses mains le long du corps de Jen, et déboutonna le pantalon du jeune homme puis retira son propre haut. Les gros manteaux et les écharpes jonchaient déjà le sol.
"c'est que t'es motivé!"
Dit-il en souriant, une pointe de coquinerie sur le coin des lèvres, une grande inspiration et c'était reparti pour un tour. |
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Jen D. Lockardse ballade sur la
Carte du MaraudeurJeune et Con || Dynamite
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| | Sujet: Re: ça chauffe après le bar (pv jen) Dim 12 Fév - 20:31 | |
| I haven't got much time so I'll get to the point. You wanna share a ride and get the fuck out of this joint. I got an impulse so impulsive that it burns. I wanna break your heart until it makes your stomach churn. I gotta know that you're the one that got away. Even though it was never meant to be. So stay, stay the night. Cause we're runnin' out of time. So stay the night. I don't wanna say goodbye.
D'accord, il y allait peut être un tout petit peu vite. Un tout petit peu. Mais en sentant la langue de Virgil dans sa bouche, il sourit. Ca n'avait pas l'air de lui déplaire tant que ça. Il passa une main sous sa chemise et caressa activement ses flancs. Il tentait tant bien que mal de combattre cette envie violente qui l'opressait. Bien sur qu'il était motivé ! Ca ne se voyait pas ? Il avait réussi à ne pas rentrer de Pré-Au-Lard tout seul, pas question de s'arrêter en si bon chemin. De plus, il ne cherchait pas une relation basée sur de la guimauve et des embrassades toutes mignonnes dans la Grande Salle. Il n'avait de toute façon jamais connu ça.
Il ferma les yeux et sourit.
"Pas toi peut être ?"
Autant ne pas se mentir, bien sur qu'il le voulait. Il en avait envie et maintenant.
Il l'embrassa de nouveau en gardant ses paupières closes et passa une main dans les mèches blondes. Il tenta d'imaginer qu'un autre blond l'enlaça et fronça les sourcils. Ca, c'était nouveau et il n'allait quand même pas en arriver là ? C'était bon pour les midinettes de bas étage à pleurer tous les soirs. Il refusait d'en arriver là. Il commençait à peine à se sentir bien. Il fixa l'autre dans les yeux comme il commençait à l'apprécier. Il devait être rouge des joues. Il le bloqua entre lui et le bureau. Tant pis pour le professeur de métamorphose.
Il s'activa à ouvrir la fermeture éclair de l'autre, avec des gestes maladroits. Ses mains tremblaient et embrasser Virgil en même temps n'arrangait peut être pas les choses. Il gémit dans sa bouche. Ils allaient partir pour le septième ciel et après ils redescendraient tranquillement, se sépareraient et se salueraient dans les couloirs. Il glissa sa bouche dans son cou et se mit à le lécher dans tous les coins.
Promis, d'ici ses seize ans, il se fait perçer le muscle de la bouche. Ca décuple les sensations.
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