Azazell repris ses esprits, il ne devait laisser place à la sympathie, c’était futile et sans aucun sens. Il était mangemorts quoi pas prêtre bienveillant. Ce n’était pas possible quoi, il ne devait pas penser à tous ceci. Satoru, un traitre ? Apparemment il cachait bien son jeu, Azazell avait quand même du mal à y croire. Au fond, il l’aimait bien Satoru mais voilà si son meilleur ami a un doute, Azazell voulait en avoir le cœur net. Satoru le rattrapa assez vite pour lui dire qu’il était partant, « parfait » pensa Azazell en se frottant les mains avec satisfaction. Il le regarda donc droit dans les yeux pour lui expliquer ce qu’il devait faire.
On va s’occuper d’une taupe chez les mangemorts ! Il s’appelle Jack Spentcley, il vit dans un manoir. Alors la mission est simple, on entre et on massacre tous le monde. Si il y a des enfants, laisse les, leur désire de vengeance ferait le travail à notre place. Nous tuerons sa femme, son frère et les invités si trouvant. Une vrai mission suicidaire comme je les aime, pas toi ?
Azazell aimait tuer, c’était chaque fois l’image de son salopard de père qui lui revenait en tête et il rentrait dans une folie meurtrière et ne craint même plus la mort. Il devient tellement fou qu’il ne vaut mieux pas être son ennemi. Satoru fit une remarque sur son air évasif, qu’il avait l’air bizarre. Satoru se prend pour un psychologue maintenant ? Le « Traitre » s’inquiète, on ne doit jamais s’inquiéter pour Azazell, le comprendre serait trop long !
Ecoute je suis toujours bizarre, c’est ce qui fait mon charme mais je vais très bien, j’ai hâte de massacrer ce traitre de Jack en plus, il me devait de l’argent le traitre. Tu pense que les traitres mériteraient quel châtiment Satoru ?
Azazell marchait au côté de Satoru et soudain ils arrivèrent devant la maison, un grand manoir isolé de tous. Les lumières étaient allumés, la musique s’entendait clairement et on entendait même quelque rire. Une fête ? Ce serait parfait tous la famille serait réuni mais il faudrait être discret car ils doivent être très nombreux, méfie toi Azazell …
Azazell regarda Satoru avec un plaisir sadique, la mort ne lui faisait pas peur, la mort était tellement libératrice. Il faut la traiter comme tels, pourquoi craindre l’inévitable quand on ne peut l’éviter. On peut même se jouer du destin avec un malin plaisir. Il dit alors à Satoru :
Une fête ? C’est cool on va s’y inviter, on massacre tous le monde le plus discrètement possible et dés qu’on est repéré, on massacre tous le monde. Si un enfant se trouve sur ton chemin, lance lui un sort de pétri ficus. On va se séparer, je prends à gauche et toi à droite puis dés qu’on se retrouve dans le Salon. A moins qu’on fous le feu à la baraque et qu’on tue tous ce qui sort, qu’en pense tu toi ?