Aarya ҨSam

«No one knows what it's like To be the bad man To be the sad man Behind blue eyes And no one knows What it's like to be hated To be fated to telling only lies But my dreams they aren't as empty As my conscience seems to be I have hours, only lonely My love is vengeance That's never free »

Le matin était à présent bien là. Plus moyen de se cacher sous la couette. Le ciel était déjà bien clair et même le soleil avait pointer le bout de son nez. Pourtant ce n'est pas pour ça que j'avais envie de me bouger. Je n'avais qu'une envie rester dans mon lit.J'étais bien dans mes draps si chaud, si réconfortants. Le seul problème que j'avais quand j'étais dans mon lit c'était mes cauchemars. Toujours les même. Je devais pourtant me lever parce que j'avais cours dans moins d'une heure très exactement et si je n'y allais pas je sais que je finirais par m'en vouloir. J'étais comme ça. Toujours à me reprocher ce que je faisais ou ne faisais pas. J'avais l'habitude des reproches j'en entendais toujours à la maison. Des reproches qui faisaient bien trop mal et qui étaient bien trop réels. J'avais souvent envie de dire à mon père. Hey désolé mais je ne suis pas parfait. Je lui ai souvent tenu tête et souvent agis de la façon que je l'entends et je sais bien que ça ne lui plait pas mais je veux vivre ma vie pas la sienne. Je finis par me lever et sortir du lit. S'il avait été là il m'aurait dit : trouve toi un travail des études ça sert à rien. Je ne l'entendais pas de la même façon. Pour moi c'était une façon de m'échapper et d'être différent de ce qu'aurait été mon frère. Inutile de repenser à ça. C'était bien trop douloureux.

Je me levais donc et après un brin de toilette m'habillais et préparais mes affaires pour la journée. Direction la biliothèque. Je devais rendre un livre depuis plusieurs jours. J'allais encore me faire engueuler parce que je le rendais en retard. Ca aussi j'avais l'habitude. La bibliothècaire me connaissais assez pour savoir ça. C'est pour ça que je généralement je me fichais de rendre les bouquins à l'heure. C'est donc vers là- bas que je me dirigeais. J'essayais de ne pas trop faire attention aux emotions que les gens dégageaient. Je ressentais trop de choses à la fois. J'avençais tête baisée vers mon point d'arrivé. Trop tard je me rendis compte que quelqu'un approchait en face. Trop tard je me rendis compte que nous allions nous rentrer dedans et puis le choc arriva. Soit c'était moi qui avait marcher trop vite. Soit c'était l'autre en tout cas je me retrouvais rapidement sur les fesses. Mon sac c'était lamentablement étalé par terre le livre que je tenais dans les mains avec. La classse ... Je soupirais puis levais les yeu au ciel pour appercevoir mon surement futur interlocuteur... En fait interlocutrice. Je ne savais vraiment pas comment je faisais pour avoir l'air aussi crétin quand il y avait une fille dans les parages. Je me relevais et la regardais d'un air désolé. " Navré j'étais plongé dans mes pensées ..."

Je me mordis la lèvre. Comme si elle s'occuperait de savoir pourquoi tu lui a rentrer dedans! J'étais vraiment nul quand je m'y mettais. Ne dit surtout rien de plus tu va la faire fuir. Se serait dommage Sammy elle est plutôt jolie. Je souris parce que c'est ce qu'aurait dit mon frère. Ne rien faire de plus et attendre qu'elle te parle. Qui sait peut être que pour une fois j'éviterais de me rendre ridicule.

Aarya ҨSam

«No one knows what it's like To be the bad man To be the sad man Behind blue eyes And no one knows What it's like to be hated To be fated to telling only lies But my dreams they aren't as empty As my conscience seems to be I have hours, only lonely My love is vengeance That's never free »

« Hm bah regarde quand même devant toi! Tu sais les yeux ça sert à quelque chose! » Sympas l'accueil. Je vous jure y a des fois où il vaut mieux rester dans son lit. Sans crier gare la colère monta d'un coup. Je m'en pris à cette fille que je ne connaissais pas spécialement. Je pouvais rapidement passer du calme à la tempête, ce qui pour beaucoup de mon pouvait être déroutant. La seule personne qui avait toujours su l'accepter était mon frère et ma grand mère. L'un était mort l'autre ne tarderait pas à s'éteindre aussi. Le temps emporte tout sur son passage et ne laisse absolument rien de ce que nous aimons. Désolé … je ne suis pas parfait. J'ai mes défauts et je ne peux pas faire autrement que de faire avec. C'est un peu ce qui me rend unique.

« Non mais je rêve, trop bon, trop con ! Vive la bonne humeur le matin, tu t'es réveillé avec quoi  au juste pour être si brutale ? Un tank ? »

Je n'avais pas crier mais ce n'était pas loin. En temps normal j'aurais été énerver par ce comportement et là le sentiment d'énervement de l'autre me donnait l'impression d'être possdèdé par quelqu'un d'autre que moi. Tout le monde savait que j'étais empathe, du moins je pensais que tout le monde le savait. L’ennuie était que parfois certaines personnes ne comprenaient pas que je pouvais vraiment m’énerve si l'air était trop à ce sentiment. Je me souvenais de cette fille. Une ancienne Serpentard si je me souvenais bien. Mariée visiblement à l'un d'entre eux.

Je n'étais jamais sympa quand je me mettais en colère. Je pouvais vraiment me montrer aussi brute que les autres et simplement me venger sur un coup de tête. Mon don me poussait vraiment à faire des choses que je n'aurais pas forcément faite habituellement. Çà agaçait beaucoup de monde et m'éloignait souvent des gens. Je fini par soupirer et ramasser mes affaires. Je regardais l'ancienne vert et argent moitié envie de la tuer moitié désolé. C'était vraiment agaçant comme don. Je ne savais jamais sur quel pied danser ni si je devais m'excuser tout de suite où me justifier. J'en avais marre que me le reproche et quand c'était comme ça le sentiment d'énervement et de colère mélanger donnait un résultat pas franchement agréable pour mon interlocutrice.