Blackie, qui avait une tournée de prévus en Angleterre, profitait des quelques jours qui lui étaient disponible, pour errer dans les rues de Londres. cela lui rappelait bien des souvenirs. Et puis, ce n’était pas un jour tout à fait ordinaire. Nous étions le 14 Février. La St Valentin. Bien que beaucoup, chez les moldus aussi bien que chez les sorciers, trouvaient cette idée purement commercial, cela restait tout de même pour Blackie, un jours placé sous le signe de l'amour. Le côté commercial de cet événement était pour lui, une option qui était née plus tard. Car a la base, cette fête, anglaise, était loin d'avoir un but commercial. Mais de formé des couples dans les petits (ou grand) village de l’Angleterre d'il y a de cela, plusieurs siècles. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leur village et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent. À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages. Cette pratique laissait libre cours à beaucoup de tricheries de la part de couples officieux ainsi que des hommes qui visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.
Blackie, errant dans les rues enneigé de fine poudreuse de Londres, ce mettait a rêver de cette époque, et de ce petit jeu. Il espérait que quelque part, sa "Valentine" se cachait.
Tout en traversant le London Bridge, Blackie vit de loin, la célèbre grande roue. Le London Eye. Il ce décida donc d'y aller, et de ce passé de magie pour aujourd'hui. D'agir comme n'importe quel moldus. Une fois arrivé là bas, il remontât assez son écharpe, pour évité d'être reconnue. Même si il était loin d'être LA star international, il préférait éviter tout fan, ou traitement de faveur aujourd'hui. Il commença a faire la queue, interminable ceci dit, en ce disant qu'une fois dans cette roue, il verrai Londres, d'un point de vue moldus. Chose qu'il n'avait jamais fait auparavant. Pour s’occuper l'esprit, il regardait, et savourait le paysage, tout ces amoureux autour de lui, main dans la main, paume contre paume, entouré de toute cettes neiges, fine et fraiche... Il était heureux pour eux, mais aussi jaloux.
Car comme beaucoup de grand musiciens, il avait eu beaucoup de femme dans son lit, et dans son coeur. Mais peu d'entre elles étaient réellement là pour ce qu'il était réellement. Mais plus pour son image, ou bien encore, son compte en banque. Aussi bien chez les moldus que chez les sorciers. Cela l'attristait. Mais il continuait de chercher, et d’espérer.. Le temps passait, et son tour approchait.. Tout en scrutant autour de lui, il s'aperçut qu'il était la seul personne non-accompagné. Il se sentit alors dévisagé, et affreusement mal a l'aise. Il décidât alors de faire marche arrière et de partir. Il commença a bousculer quelques personnes pour partir, puis un bras l'agrippa. Il ce stoppa net, se retournât, et en voyant qui l'avait attrapé, il n'en crut pas ses yeux. Il s'agissait bien de Wendy Brown. Son amie perdu de vue de l’époque où il était encore étudiant a Poudlard. Tellement estomaqué et sous le choc de la croisé ici, en ces conditions, que les seuls mots qui lui vinrent furent: "Toi ici?"

Blackie, toujours "sous le choc" de retrouver Wendy ici, acquiesça de manière robotique, le regard presque vide, tellement son cerveau était submergé d'informations. Wendy lui pris le bras dans un sourire et ils retournèrent a sa place dans la file d'attente. il y eu un léger moment de blanc entre eux. Pas le genre de blanc lourd, qu'il y a parfois avec une personne a qui on a rien a dire, mais plutôt celui qui prend place lorsque tellement de choses aimeraient être dites a la fois, que aucune des deux personne commence a parler. Blackie lui réalisait a peine qu'il avait devant lui son amie de poudlard. La seule fille qui ne profitait pas de lui, et l’appréciait a sa juste valeur. Il se rappelait de tout les meilleurs moments passé avec elle, et se rendit compte qu'il avait perdus négligemment contact avec elle, alors que au final, c'est peut être une des rares personnes avec qui il aurait du entretenir les liens.
Toutes ces émotions a la fois le rendirent a la fois fou de joie, et a la fois mélancolique. Il revint à lui et ce rendit compte du long silence qui régnait entre les deux. il se mit a la dévisager, et sa fraicheur lui rendit toutes ces capacités.
"Hé bien ma fois oui. j'ai pas trop a me plaindre écoutes. je réalise enfin un de mes rêves." lui répondit-il sans lâcher ses yeux qui l'avaient toujours fasciné, et un large sourire.
"Et toi aussi oui, j'ai vue ça. tu te débrouilles pas mal non plus. Enfin,... dans ton style quoi." ajoutât-il en riant. Il lui précisa juste après qu'il rigolait et que ce n’était pas pour être méchant, mais qui jouait avec l'ironie. Comme a son habitude. Puis il se mit a la questionné sur sa carrière, sur sa musique, ses inspirations artistique,... Toute cela alors qu'il savait déjà beaucoup de réponse. Car bien qu'il avait perdus contact avec elle, il ne l'avait jamais oublié pour autant. Il avait suivit avec beaucoup d’intérêt sa carrière. Il admirait depuis toujours son indépendance, et la force qu'elle était capable de mettre pour arrivé a ses fins. Et il était heureux de voir que tout fonctionnait pour elle.
Leurs tour arriva enfin. Il montèrent dans la nacelle, et commencèrent a prendre de la hauteur, mais très lentement. ce qui leurs permettait de continué a discuter et à admirer le paysage. Puis Blackie voulut en savoir plus sur ce qu'elle devenait. D'un point de vue, bien plus personnelle. ce qu'il ne pouvait réellement savoir par la presse, et autres média.
"Et sinon alors, tu habites sur Londres. Et tu vis où précisément?"
Blackie commençait par de petites questions sans réelle importance, pour voir sa réaction a des questions plus personnelle. Car après tant d'année, il était légitime pour lui, qu'elle refuse de ce reconfier aussi vite. Et espérait en savoir beaucoup plus que ça. Il en oubliait presque qu'ils étaient dans le grand London Eye.