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Le jour c'est levé, sur cette étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker)

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Samuel C. Davidson

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Carte du Maraudeur



Samuel C. Davidson


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MessageSujet: Le jour c'est levé, sur cette étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Le jour c'est levé, sur cette  étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Icon_minitimeLun 9 Avr - 20:14

    La nuit était tombé. Tout le monde dormait. Chacun rêvais de choses différentes, de bonnes où de mauvaises choses. Chacun avait la possibilité de croire en ses rêves. Tout le monde rêvait. C'est une chose qu'on ne pourra jamais enlever à quiconque le rêve. Même pas à ceux qui comme moi voudrait ne plus voir certaines choses la nuit. La neige recouvrait chaque parcelle d'herbe autour de nous. La glace de l'étang c'était transformer en véritable patinoire et du haut de mes quinze ans je n'avais qu'un envie aller m'y aventurer. Charles était derrière moi, lui s'occupait de faire rire papa en lui faisant des grands signes. Papa était derrière la fenêtre de son bureau et lui souriait puis repartit à ses affaires. Je m'étais avancé vers la glace comme attirer vers elle. Elle tiendrait. Ça tenait toujours. L'année passé elle avait tenue. J'y étais. Je marchais sur la glace et faisait des signes de victoire à mon frère qui riait. Je revenais vers le bord. Je n'allais pas non plus rester là éternellement c'était juste notre amusement depuis des années. D'abord moi, puis lui. Pourtant cette année là, rien ne se passa comme prévu. Je n'entendis pas les craquements soudain de la glace. En moins de deux secondes je me retrouvais sous l'eau. Dans le froid glacial. L'air dans mes poumons se faisait plus rare et je paniquais. J'essayais de remonter à la surface en vain. J'entendis des pas au dessus qui courrais vers là où j'étais tombé. Je sentais l’inquiétude et la panique en multiplié par deux. Je sentis des mains m'agripper et me remonter à la surface. J'étais de nouveau à l'air libre complètement glacé et incapable de bouger le moindre petit doigt de pied. Charles criait à notre d'apporter des couvertures tendis qu'il venait de poser la veste qu'il portait pour me réchauffer et tentait de me rassurer. J'entendis à nouveau ce craquement de glace. Je sentis la stupeur et l'angoisse de mon frère. J'essayais de me dégager et de bouger mes bras, mes jambes mais j'étais encore trop glacé, trop pétrifié. Je n'eus pas le temps de faire quoi que se soit. Je sentais son angoisse, je sentais la peur de mourir. Son étouffement aussi. Je sentais aussi qu'il me disait autre chose. J'hurlais. Quelqu'un devait venir l'aider. J'hurlais et personne ne venait.

    Je me révélais en sursaut, tremblant et surtout effrayé. Cette sensation était bien trop réelle pour n'être qu'un simple rêve. Ce souvenirs était trop présent pour que j'en sois guéris. Quelque chose me disait. Tu l'a tuer et tu le paiera toute ta vie. Frissonnant je me levais. Il faisait jour de toute façon. Je détestait faire ce cauchemar. Je revivais à chaque fois le pire moment de ma vie. Le pire était que j'étais entièrement responsable de sa mort et que mon père ne me pardonnerait jamais. Il serait à l'université Dumbledore s'il était en vie. Charles Davidson. Il aurait tout fait pour se faire une place au ministère comme mon père avant lui. Je chassais ce souvenir de ma mémoire pour la mâtiné et partis m'habiller. Aujourd'hui nous étions samedi. Aujourd'hui j'avais prévu de sortir de Poudlard, de pré au lard et de m'éloigner un peu. Me remettre en question peut être. Trouver un moyen de me faire pardonner. Deux ans. Deux longues années sans sa présence. Jour pour jour. Je ne partis pas déjeuner. Je sortis directement vers le village de pré au lard et transplanai vers Londres. Je savais exactement où je comptais aller. C'est devant une maison qui avait été la mienne, devant cette maison qui avait connu l'amour, la vie, la mort que je me retrouvais. Mon ancienne maison. L'étang était toujours là. Au bout de l'allée. J'empruntais cette allée que je ne connaissait que trop bien. L'étang n'était plus aussi dangereux qu'avant. D'ailleurs il n'y avait pas de glace cette année. La barrière en bois qui séparait l'allée de l'étang était à moitié sortie de ses gongs.

    Je pensais qu'en revenant ici j'arriverais à me dire que je me pardonnerais mais non. Je n'arrivais même pas à aller plus loin que la barrière. Je n'arrivais pas à franchir cette limite. Je n'acceptais pas de l'avoir perdu par ma faute. Il était toujours là. Je le sentais. Même j'en avais des images. Un fantôme. Différent de ceux de Poudlard parce que je savais que j'étais le seul à le voir. Toujours souriant. J'avais garder sa veste et la portait constamment. J'étais trop impliqué et sensible pour rester ici. Pourtant lorsque j’aperçus son visage. Là bas tout sourire j'eus vraiment envie de franchir ce qui me séparait de lui. Je n'y arrivais pas. Je ne pouvais pas. Je transplanais à nouveau cette fois vers le cimetière où il était enterré. Je restais plus d'une demi heure à me confondre en excuse et à espérer que le courage me prenne pour retourner voir ma famille. Je ne pouvais pas. C'était trop dur. Ils m'en voulaient toujours tous autant. Après un nouveau transplanage j’atterris à Londres . Aller boir un verre où deux me semblaient un bon moyen de me remonter me moral. Et si j'allais voir mon père au ministère ? Qu'est ce qu'il me dirait ? J'étais sûr qu'il ne parlait jamais de moi à personne. Il avait trop honte. Il aurait préférer que je parte à sa place. Il l'avait toujours préférer. J'entrais dans le premier bar que je trouvais. Je savais utilisé la monnaie moldu, ma mère en était une. Je n'étais pas loin du ministère. Je savais que je pouvais croiser mon père et au final je n'attendais peut être que ça. Je demandais au barman une double tequila. Je passais plus pour un banquier vu la tenue que je portais aujourd'hui qu'un étudiant. Je portais un costume noir. Celui que j'avais mis à son enterrement. Je tenais dans ma main le pendentif qu'il avait l'habitude de porter. Le Barman me servit. Je le remerciait et sorti une photo de ma poche. Contrairement aux photos moldus elle bougeait si on y faisait attention. Sur cette photo il y avait mon frère, moi et mon père lorsque tout était encore parfait. Aujourd'hui plus rien n'avait de sens. J'étais totalement perdu.
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Lust Whitaker

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MessageSujet: Re: Le jour c'est levé, sur cette étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Le jour c'est levé, sur cette  étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Icon_minitimeMar 17 Avr - 12:24

A peine avais-je posé les pieds dans ce bar moldu que je connaissais bien, que mon regard fauve balaya la salle enfumée, me découpant un fier profil d'aigle prêt à fuser sur sa proie. Aucune mine trop familière ne s'offrit à ma vue, aucune silhouette chancelante ni de crâne luisant, aucune dégaine bedonnante qui aurait pu me ramener à l'homme que je cherchais à cet instant précis. Claquant une langue agacée contre mon palais, j'allais pour tourner les talons – peut-être aurais-je plus de chances de trouver ce poltron un autre jour – quand soudain j'aperçus une délicieuse demoiselle aux courbes rondement généreuses me faire signe de l'autre côté du bar. Ses lèvres pulpeuses s'étiraient en un sourire ravi, ses boucles blondes frayant un chemin jusqu'à sa poitrine rebondie et bien galbée dans son étroit corset me laissait présager que Elizabeth avait besoin de nombre de pourboire ce soir. Amusé par la non discrétion qu'elle faisait preuve, autant que par cette flamme intéressée luisant dans ses yeux gris, j'eus un rictus carnassier avant de m'avancer vers le bar. Le port de tête altier, le pas assuré, le dos droit : ma prestance n'avait d'égale que mon arrogance, c'était dire si on ne voyait qu'elle... « Où est Buckett ? » La jeune serveuse eut une mine faussement boudeuse avant d'avancer son bras sur le bar poli, grignotant un peu plus de mon espace vital. Sa voix rocailleuse, si contraire à sa silhouette pulpeuse, s'égraina dans un timbre à la fois teinté d'une susceptibilité latente, et d'une volonté de plaire trop gourmande : « Hey mon chéri, on dit plus bonjour à sa blonde préférée ? » Un sourire goguenard étira mes lèvres désirables comme je plongeais mon regard pénétrant dans le sien, et aussitôt sa main dans la mienne, prise avec la langueur délicate d'un amant quémandeur, je sus que je marquais des points lorsque j'y déposais un baiser. « Elizabeth. » La belle gloussa alors, se pinçant les lèvres dans un soupir envieux, avant de jeter un signe de tête à une table désespérément vide. « Il était là hier, plein comme un pot comme d'habitude. Le patron a du le mettre dans un taxi. Je te parie dix livres qu'il revient ce soir pleurer dans son whisky, parce qu'il a encore perdu son job de s'être ramené avec la tête enfarinée c'matin. » L'agacement voila mes traits si charmeurs ; je levais mon regard d'ambre vers le plafond dans un soupir las maudissant contre ce poivrot. Glacé et glaçant, je n'avais pas dans l'optique d'attendre ce Buckett toute la soirée. Remarquant l'irritabilité de mes traits, la belle Elizabeth s'en soucia quelques peu : « Il te doit de l'argent mon chou ? » fit-elle avant de me toiser de haut en bas, admirant mon costume sombre cousu dans un tissu remarquable. « ...Tu peux te permettre de perdre un peu de fric. Une goutte d'eau dans l'océan. » souffla-t-elle, enjôleuse, pour mieux me taquiner. « Question de principe. » répliquais-je dans un sifflement sec et froid. La jolie demoiselle opina doucement du chef non sans me lancer un regard chaleureux, avant de contourner le bar afin de reprendre son service.

Un nouveau soupir agacé passa la barrière de mes lèvres comme je toisais droit devant moi, rétines assassines posées sur cette collection de bouteilles, mine grave et mâchoire crispée. Un instant, j'hésitai à tourner les talons et sortir de l'établissement, mais puisque j'étais ici autant profiter d'un bon verre de whisky. Habitué aux pubs moldus avant même d'être en âge légal de boire de l'alcool, je manipulais l'argent non sorcier avec dextérité. « Comme d'habitude Lust ? » fit alors le patron en haussant le sourcils, nettoyant son verre de son chiffon gras et recevant un signe de tête entendu pour toute réponse. Je pris donc place derrière le comptoir, tirant avec élégance sur ma veste afin de m'assurer qu'elle ne froisserait pas, et toisant au passage de mon regard d'aigle le cliché que tenait mon voisin de comptoir dans les mains. « Le présent est traître, mais le passé aussi. » sifflais-je d'une voix suave au jeune homme vêtu également d'un costard, avant de tirer une cigarette de mon paquet d'un geste nonchalant.

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Samuel C. Davidson

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MessageSujet: Re: Le jour c'est levé, sur cette étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Le jour c'est levé, sur cette  étrange idée que la vie n'est qu'un journée ... ( Pv Lust Whitacker) Icon_minitimeDim 29 Avr - 15:06

    Une homme c'était installé au comptoir. Je n'y faisais vraiment pas attention parce que chaque jour je croisais des centaines de personnes. Je ne pouvais pas pour chacune leur accorder de l'attention. Je n'avais pas fini si je devais me soucier de chaque personnes sur cette terre. Je sirotais mon verre comme s'il s'agissait d'une chose précieuse. Je n'avais jamais été du genre à boire jusqu'à en être ivre mort. Ce n'était pas mon truc. D'ailleurs l'alcool ne m'avait jamais vraiment attiré. Ce soir c'était exceptionnelle. Si je n'avais pas fait attention à mon voisin visiblement lui avait fait attention à moi.«Le présent est traître, mais le passé aussi.» Je me tournais vers l'homme en question. J'avais l'impression de l'avoir déjà croiser quelque part mais je n'arrivais plus à savoir où. En tout cas j'étais persuader qu'il était sorcier. Il aurait réagit autrement s'il ne l'était pas. Il semblait être très distingué et je sentais quelque chose de bien plus profond en lui.

    «Vous parlez pour vous où pour moi?»

    Je reconnaissais que je pouvais être très dérangeant quand je m'y mettais. Je ne pouvais faire autrement que de deviner certaines choses. Le don que j'avais m'envoyait tellement de signaux qu'il m'était impossible de ne pas faire de liaisons entre ce que les gens disaient et ce qu'ils ressentaient. Ils étaient pourtant comme moi. Ils conseillaient mais ne s'écoutaient pas. Typiquement humain de faire ce genre de choses. Faites ce que je dis, pas ce que je fais disait le proverbe. C'était entièrement vrai, pour moi en tout cas. Il m'était tellement plus simple de dire ce que les autres devaient faire plutôt que de m'appliquer à moi même mes propre conseils. Aider les autres était pour moi une façon d'oublier un peu tout ce qui m'arrivait. De ne plus me sentir autant coupable et de tout faire pour oublier ma propre peine.

    «On se connaît?»

    Question un peu brusque et banale. Je ne pouvais faire autrement que de commencer à engager une conversation qui n'aurait peut être pas lieu d'être. S'il dégageait une certaine classe je ne savais pas vraiment à qui j'avais à faire. Je rangeais la photo dans la poche intérieur de ma veste. Je n'avais pas franchement envie d'aborder le thème des souvenirs. C'était pourtant bien moi qui était retourner vois mon ancienne maison, bien moi qui était parti comme un pèlerin sur la tombe de mon frère. Ce qui prouvait que j'étais loin d'être guéris de tout ça et d'ailleurs je ne le serais jamais vraiment. Je ne pouvais pas oublier que j'avais eu un frère ni qu'il était mort par ma faute. Ni que depuis qu'il n'était plus là j'avais perdu bien plus que lui . Je perdais petit à petit ma famille. Je perdais les miens qui ne croyaient plus en moi et je ne croyais plus en moi non plus. Je n'étais pas du tout apte à poursuivre quoi que se soit. Je perdais jour après jour confiance et espoir qu'un jour tout serait plus simple. La vie était loin d'être l'apprendre à ses dépends ou par le billet des autres était la même chose. Injuste et cruelle. Si certains pensent qu'on à toujours le choix, pour ma part je dirais que le chemin est tracé et que certaines choses arrivent parce que c'est inévitable. Changer le passé ne résoudrait rien et raccourcir son avenir serait faire preuve de lâcheté. Le fardeau à porter suffisait à renforcer la force de vaincre.
    Je ne savais pas réellement quoi penser de mon interlocuteur. Il avait l'air tellement différent des gens que je côtoyais et en même temps tellement intriguant que savoir ce qu'il cachait mettait tout mes sens en alerte. J'avais du mal à cerner ce qui n'allait pas chez lui. Peut être qu'il n' avait rien et que je me trompait tout simplement de personne. C'était rare que je me trompe mais c'était arriver une fois déjà. L'erreur est humaine. Si j'avais la capacité de ressentir les émotions des personnes je ne pouvais parfois pas savoir de suite de qui il s'agissait. De plus il y avait beaucoup de monde ce soir. Les bars étaient vraiment les endroits que j'aimais le moins. Trop de monde m'embrouillaient l'esprit. Ce soir je me fichais bien du monde autour de moi et pourtant je ne pouvais m'empêcher de questionner cette homme que je connaissais à peine voir pas du tout. Les gens devaient parfois me prendre pour un fou. Je ne pouvais malheureusement pas faire sans mon don. J'étais né avec tout comme j'étais né étant un sorcier. Cela faisait parti de moi et rien ni personne ne pourrait changer ça même si parfois j'en rêvais.
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