L'art de faire des Bêtises

Lorsque j'étais petite, ma maman disait toujours « j'aurais dû rester au lit ce matin » lorsqu'elle avait eu des problèmes, ou fait des bêtises. Aujourd'hui, c'est à mon tours de le dire, j'aurais dû rester au lit ce matin. Surtout après la bêtise que je viens de faire... Quel idée de suivre les plus grand, pourquoi j'ai fais ca, on peut me le dire?! J'espère qu'un professeur n'est pas dans le magasin, et j'espère que le vendeur ne m'a pas vu. Je l'espère vraiment. Je fais réellement que des bêtises moi ! Ca va me valoir des points en moins, quoi que, je fais qu'en perdre, alors un peu plus ou un peu moins hein... Je sens que si mes congénère jaune m'entendrait dire ça, j'aurais pas assez de neuf vies... Amen ! Que la paix vienne a mon âme. Enfin bref... Où je me trouve actuellement? Je connais pas le noms, mais y a plein de bonbon, tous plus étrange les uns que les autres, peut être parce que dans le monde moldu, il n'y avait pas ça. J'aurais cru que les bonbons moldu et bonbons sorciers serait identique, mais apparemment, je me trompais. Sinon pourquoi je m'étais retrouvé ici? Je vais vous raconter:

Je marchais tranquillement dans les couloirs, sans me soucier de personne, trop absorbé par mes pensées, et par l'envie d'aller à mon tour au Pré-au-Lard. J'avais entendu, dans la salle commune des Poufsouffle, qu'une sortie avait été organisé. Je savais que les première années ne pouvait pas sortir au Pré-au-Lard et que je pourrais y aller qu'a partir de ma deuxième années, ce qui est à mon goût pas juste ! Moi aussi je veux me balader dans les ruelles du village sorcier, mais non ! Bien sur non ! Pourquoi autoriser les premières années à y aller ?! Je paris que tous les premières années sorcier y sont aller un jour, même si c'était pas pour faire les courses de rentrée ! Je veux y aller...

A me morfondre ainsi, je ne m'étais pas rendue compte, que j'avais parcouru autant de chemin, je crois même que je me suis perdue. J'ai réussi à me perdre. Génial ! Allez, retrouvons la route du retour, ça ne doit pas être bien compliqué hein... Je fis alors demi-tours, faisant marche arrière, bien que je ne savais pas par où j'étais passé... Par une des interceptions, j'entendis alors une conversation curieuse...

Griffondor 1: Alors, tu viens au Pré-au-Lard?

Griffondor 2: non, mes parents ont oublié de signé l'autorisation...

Évidemment vous me connaissez, curieuse comme je suis, je ne pouvais pas laisser passer ça, peut être que l'autre allait avoir une solution pour sortir de Poudlard! Si je reste encore une seconde dans l'enceinte de l'école, je vais déprimer, même si y a le parc et la foret interdite, j'ai envie de voir d'autres horizons moi ! J'ai déjà tous vu, enfin pas la foret interdite, car comme le nom l'indique, elle est interdite bien que ça ne me dérangerais pas, mais j'ai entendu dire qu'il y avait des araignées, et j'ai peur... des... Araignées ! J'en ai une peur bleu, donc voilà hein... Maintenant chut ! J'écoute !

Griffondor 1: Ah ! Merde! Pourquoi tu n'emprunterais pas le passage secret? C'est mon père qui m'en a parler, je pourrais te le montrer.

BINGO!!! Oh oui ! Montre le lui, que je vous suis mes coco ! Allez y, montrez moi ce passage, que j'y passe aussi !

Griffondor 2: Ca serait bien oui... Une fille ma donné rendez vous en plus chez Madame Pieddodu ! Je me voyais pas lui dire que j'ai pas l'autorisation...

Blablabla, m'en fou, abrégez... Et hop, plus un bruit seulement des bruit de pas, que je suivis mine de rien, me cachant lorsqu'il se retournait... J'ai peut être regardé trop de film d'espion au cinéma moi... Bref, je m'en fou, j'vais pouvoir voir du monde, enfin, la, voir le village sorcier. C'est génial. Je les suis tranquillement, sans me poser de question particulière, comme, si je passe par le passage, comment le réemprunter après? Bonne question, mais la, je m'en fou. Marchons, suivons leur rythme de marche ! Rapidement, je me retrouve devant la statue de la sorcière borgne et bossue... J'incline alors mon visage...

Pouffy Maladroite: Je savais pas qu'il existait des sorcières... Aussi... ideuse... Arg, l'horreur !

Et voilà comment je me suis retrouvé à ramper au sol pour que l'on me voit pas... J'espère que je ne vais pas avoir des ennuis... J'aurais dû finir chez les griffondors en faite... J'agis avant, je réfléchis après... Allez, plus que quelques mètres et je suis dehors... Et paf, je me cogne contre quelques... Je lève le visage, la peur dans le ventre... je me mordais l'intérieur de la joue, en souhaitant que ce ne soit pas un professeur, je le souhaitais réellement...

Pouffy Maladroite: Désolé... Monsieur...

L'art de faire des Bêtises

Mon dieu, j’ai le don pour m’attirer des ennuis. Dites-moi encore pourquoi je me suis levée ce matin ? Obligée ? Effectivement, si j’y suis obligée hein, j’ai plus trop le choix. Enfin bref… J’avais passé le plus part de mon temps libre a flâné, au point que je n’avais pas vu que j’avais passée devant un garcon de mon age, ni même que ce dernier avait passée son temps a me suivre. J’étais bien trop prise dans mes pensées en faite. À quoi je pensais au juste ? C’est simple mes pensées passaient entre mon ami l’auror, et le fait que j’avais l’impression que je n’avais pas ma place dans ce monde. Je ne connaissais rien à ce monde, encore moins à leurs modes de vie. Peut-être que j’en connaîtrais plus en grandissant dans ce monde. Mais maintenant que j’avais découvert que j’étais une sorcière, j’appartenais a ce monde et non a ceux de mes parents, je devais bien l’avouer ça m’arrangeait franchement, mon frère et ma sœur n’a jamais été des plus tendre avec moi, et maman qui ne voyait rien, bon-là, je dois avouer qu’elle doit me prendre pour un monstre, comme mon frère et ma sœur. Bon, j’avoue que maintenant j’ai Will, mon grand frère, même si on n’a pas de lien de parenté niveau sanguin, pour moi c’est mon grand frère. Will est quelqu’un d’important pour moi, plus important que sont Helena et Josh à mes yeux.

Bref, après avoir passée un moment à écouter deux idiots rouges, je me suis laissé entrainer dans une des bêtises qui allait me faire perdre des points si ça venait à se faire connaitre, alors autant ce faire le plus discret possible. Évidement, en les suivant je me retrouvai nez à nez a une statue des plus hideuse, j’en ai eu des haut-le-cœur, mais horrible. J’avais traversé le passage avec la peur que l’on me voie la, je faisais le moins de bruit possible, jusqu'à même retenir ma respiration par moment. J’avais le cœur qui battait à en faire peur une locomotive. Il faisait très sombre également, j’étais tombée plusieurs fois au sol, m’égratignant les genoux, mais je n’avais pas mal, enfin sur le coup si, mais lorsque l’on y pense plus, la douleur s’en va rapidement, c’est comme tous. Regardez, lorsque j’ai mal au ventre, je n’ai juste à penser à autre chose, tout en fermant les yeux, et quelques minutes après, j’ai plus mal. On a mal que lorsqu’on y pense, c’est tous bête. Enfin c’est peut-être moi qui suis bizarre aussi… Ça ne sera pas la première fois qu’on me fasse cette remarque.

Arrivée à la fin du passage, je m’étais accroupie, pour passer encore plus inaperçue, passant entre les jambes des gens, jusqu'à ce que je me cogne contre une paire de jambes inattendues. Je m’étais excusée évidement, bon, j’avoue, j’avais peur que ce soit un professeur, qu’est-ce que j’allais dire si c’était un professeur, je cherchais une excuse vite faite, qui pourrait être plausible, mais rien ne venait, j’étais en tord, et mentir, ce n’était pas une vocation chez moi, je n’étais pas une serpentarde après tous, c’était eux les vils serpents, moi j’étais qu’une paisible blairelle…

Monsieur percuté: tout v-va bien ?

À première vu, ce n’était pas un professeur, la voix de la personne qui venait de parler était enfantine, pas comme celle d’un professeur, trop aiguë pour ça, peut être que je me trompais, j’espérais au fond de moi que j’avais raison, je levais alors les yeux vers lui, étonnés, et pris de panique aussi.

Pouffy Maladroite: P…Parfaitement… J…Je suis désolée

J’avais la voix qui tremblait, ça s’entendait parfaitement. C’était surtout du a la peur que j’avais eue a l’instant, j’avais également les yeux encore grands ouverts, le cœur qui battait a tous rompre. Doucement, je me redressais sur mes deux jambes afin des plus aptes à lui parler.

Pouffy Maladroite: tu m’as fait une peur bleue… J’ai cru un instant que s’était un professeur !

Elle vit alors le blason sur l’uniforme du jeune homme, elle sourit alors un peu plus rassurée que l’instant qui venait de ce passer.

Pouffy Maladroite: Tu es de poufsouffle toi aussi ? Moi c’est Daisy, Daisy Howard, Première année !