« Ted? »

Le jeune homme releva les yeux de ce qu'il était en train de lire avec une attention plus que soutenue, et il tourna la tête pour faire face à Will, l'un de ses collègues de bureau qui l'observait curieusement. Il avait ce regard qu'il avait toujours lorsque ce dernier l'avait appelé à plusieurs reprises sans même que Teddy ne s'en rende compte, trop concentré dans la tâche qu'il était en train de faire. D'ailleurs, son collègue tendait à jeter un coup d'oeil sur ses les feuilles qu'il tenait ; il le voyait à ses yeux qui essayaient de voir par-dessus le bord... Esquissant un sourire, Teddy referma rapidement le dossier sur lequel figurait le nom de « Nymphadora Tonks » et qu'il venait de trouver avec les dossiers des archives.

« Oh, excuse-moi, j'étais dans mes pensées. » Ce qui par ailleurs arrivait très souvent.

…. Ce dossier... Son cœur avait fait un bond dans sa poitrine et aussitôt qu'il l'avait vu, il s'en était emparé. Cependant, il savait que si on le voyait avec un dossier sortit tout droit des archives, il pouvait avoir des problèmes... Même s'il s'agissait d'un parent à lui et même s'il voulait juste en savoir plus sur elle... Sur sa mère, sur cette femme qu'il n'avait pas connu assez, que la guerre lui avait enlevé trop tôt... Sa gorge s'était serrée et sans même y réfléchir, il s'était emparé du dossier qu'il avait glissé sous sa robe. Il était ensuite ressortit des archives en serrant ce dossier contre lui, contre son cœur, comme s'il s'agissait de la chose la plus précieuse qu'il avait jamais possédée.

En revenant dans le bureau des Aurors, il l'avait glissé dans un tiroir pour le reprendre lorsqu'au soir il devrait rentrer chez lui. Ce soir, il le feuilletterait... Il allait l'éplucher, l'apprendre par cœur. Teddy se raccrocher à toutes les choses qui lui faisait souvenir ses parents... Ils l'obsédaient. Cette envie d'en savoir plus sur lui l'obsédait depuis l'enfance, ne l'avait jamais quitté. Même enfant, il appelait après eux. Malheureusement, personne ne pouvait les faire revenir... Ils n'avaient pas ce pouvoir. Du coup, Teddy en voulait à la magie parce que pour lui, la magie pouvait tout faire.
Il n'empêche qu'en grandissant, il avait été toutefois fier d'avoir ses premiers pouvoirs magiques et lorsqu'il avait reçu sa lettre pour Poudlard, ça avait été le plus beau jour de sa vie. Ses parents devaient être fier de lui ! Et en tous les cas, il avait bien l'intention de les rendre fiers.

Après cette journée de travail – journée normale à vrai dire – il se rendit aux alentours de dis-sept heures à Pré-au-Lard, aux Trois Balais où il devait retrouver Victoire. Cette dernière travaillait à Poudlard et ils avaient tous deux des emplois du temps très chargés. Ils ne se voyaient pas aussi souvent qu'il aurait voulu, mais il fallait bien faire quelques concessions ! Sans compter que cela rendait leurs rendez-vous plus... Uniques ! S'installant dans un coin de la salle des Trois Balais, il sortit de sa sacoche le dossier qu'il avait « emprunté » et attendant l'arrivée de Victoire avec impatience, il ouvrit le dossier et se plongea dans sa lecture.

Lorsqu'il referma soigneusement le dossier, elle eut le réflexe d'en lire le titre. Nymphadora Tonks. Il s'était dégoté le dossier de sa mère lors de son service à l'Ordre. Elle ne sut comment réagir, si bien qu'elle fit semblant de ne pas l'avoir vu. Elle ne put s'empêcher cependant de s'inquiéter pour lui. Ça le poursuivait, elle en était sûre. Elle voulait qu'il se confit à elle, mais n'insista pas sur le sujet. Surtout lorsqu'il lui répondit qu'il avait eut affaire à de la paperasse et que les derniers jours avaient été calmes.
Elle se souvint de sa semaine à elle. Toujours la même rengaine : des élèves allergiques aux cours et souhaitant une « pause » pas souvent méritée... Victoire s'ennuyait mais elle était obligée de suivre cette formation si elle voulait devenir guérisseuse.

Elle connaissait ce ton. Le ton qu'il emprunta lorsqu'il parla de sa mère, de son ascendance dont il était si fier. Elle glissa sa main vers la sienne et esquissa un sourire. Il avait toujours été triste, vide de ne pas avoir connu ses parents. Elle avait peur qu'il ne l'envie presque. Car ses parents à elle étaient toujours en vie. Ils bossaient d'ailleurs tous les trois pour l'Ordre du Phénix. Il changea de sujet au plus grand plaisir de Victoire. Sa journée ? Elle n'allait pas lui mentir. Elle s'était ennuyée toute la journée.
- À vrai dire, jamais je ne me suis plus ennuyée. fit-elle en soupirant. Mais ça me fait plaisir de te voir. Ça faisait beaucoup trop longtemps.

Elle but une gorgée de sa Bièraubeurre et tenta de relancer la conversation. Rien à vrai dire, ne lui venait. Il lui paraissait cachotier, fatigué, avide d'en connaître plus sur ces deux personnes qu'il n'avait jamais vu. Il faisait souvent des allusions, des petits clins d'oeil, des choses qui rappelaient cette obsession. Elle l'écoutait toujours, patiente et consciente que ça lui ferait plaisir. Victoire serait prête à tout pour lui. Elle connaissait autant Remus et Tonks que lui les connaissait. Elle avait aidé lors de ses recherches quelques fois, demandant à ses propres parents ou à Harry Potter. Généralement c'était infructueux, mais elle parvenait parfois à leur extraire des informations qu'elle allait rapporter à Ted.
Victoire était fatiguée. Fatiguée par sa journée d'ennui mais la seule pensée d'être en compagnie de Ted la réconfortait. Elle savait que passé cette soirée, elle devrait retourner auprès des élèves de Poudlard et leurs maladies imaginaires. Elle décida de ne plus y penser et de reporter son attention sur Ted. Elle n'avait pas lâché sa main, trop absorbée par ses propres pensées pour l'avoir lâchée. Tant mieux d'ailleurs. Cela faisait un an qu'ils étaient ensemble. Ted avait déjà quitté Poudlard et il lui restait une année encore à faire pour elle. Ils s'étaient tout simplement rendu compte qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Tout le monde fut ravi car Ted est très apprécié par les Weasley. Mais ils n'y avaient pas pensé. Ils étaient ensemble parce qu'ils s'aimaient, et pas pour une autre raison.

[Désolée de ce poste médiocre et du retard mais j'ai eut une tonne de boulot cette semaine...]

Victoire avait été longtemps certainement la seule à laquelle il avait osé vraiment se confier sur ce sentiment de vide qu'il ressentait en lui vis-à-vis de l'absence de ses parents. Aujourd'hui, un peu moins. Il ne voulait pas l'embêter, ou lui faire croire qu'il n'avait toujours pas laisser tomber un peu cette... Obsession. Comment pourrait-il le laisser tomber un jour ? Jamais il ne le pourrait. Il ne pouvait pas tout simplement tourner la page et voir vers l'avenir, sans au moins y penser toujours ! Ils étaient là, l'accompagnant dans ses pensées, ils étaient présents grâce à lui... Mais après, il essayait quand même de se modérer pour en parler parce qu'il ne voulait qu'elle croit qu'il néglige elle au profit de ses parents ! Parce qu'évidemment qu'elle était extrêmement importante pour lui, évidemment qu'il l'aimait... Ce n'était pas la même chose. Des parents, on en avait que deux... Et le lien qui nous en unissait n'en était pas de même nature.

Il esquissa un sourire et hocha la tête. Cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas eu une soirée tranquille – enfin, tranquille, ils étaient quand même dans un pub là, donc il y avait du monde alentours... - mais je veux dire, habituellement, ils se voyaient lors des repas de famille chez les Weasleys. Alors ils passaient évidemment de bonnes soirées mais. Les Weasleys – et son parrain – avaient toujours été très bons pour lui et ils l'avaient toujours couverts d'égards comme s'ils s'en voulaient qu'il n'ait pas connu ses parents et comme s'ils ne voulaient pas qu'il lui manque de la tendresse. Parfois, il aurait toutefois bien aimé pouvoir être tout seul avec sa chère Victoire.
Il leur avait toujours été très reconnaissance de tout ce qu'ils lui avaient fait, et jamais ils ne pourraient leur en vouloir sur quoique ce soir. D'ailleurs, il n'y avait aucune raison pour lesquelles il aurait pu les en vouloir... Ils ne voulaient tous que son bien. La preuve en était de la joie avec laquelle la nouvelle qu'ils s'étaient mis ensembles, Victoire et lui, fut accueillie. Ils avaient été vraiment heureux pour lui, enfin pour eux, et... D'ailleurs, il était même persuadé qu'ils avaient attendu cela depuis... Longtemps. Teddy s'était même demandé s'ils n'avaient pas fait de plans sur eux deux avant qu'eux-mêmes ne le sachent … ?

« Tu as raison... Je pense qu'on devrait essayer de se planifier quelques petits horaires supplémentaires rien que pour nous... On devrait trouver ? » commença t-il lentement tout en réfléchissant. « ... Tu fais quelque chose ce soir ? » ajouta t-il ensuite en avançant une main sur la table avant de la poser sur la sienne. Même ce simple contact lui avait manqué. De même que son sourire, de même que son regard  « On pourrait rester ensemble toute la soirée. » Il esquissa un sourire, espérant qu'elle allait dire oui.

Elle avait raison... Ils ne se voyaient pas assez ! Mais ayant des emplois du temps chargés, ils ne pouvaient faire autrement... Il faudrait quand même qu'ils essaient de s'arranger parfois des horaires... Je ne sais pas, à l'heure du déjeuner par exemple en semaine, ils pourraient se retrouver ici pour manger, au lieu de manger tout seul l'un à Londres, et l'autre à Poudlard... Enfin, profiter un peu plus chaque fois qu'ils pouvaient en avoir l'occasion. La voir si peu lui donnait l'impression de rater pleins de choses de sa vie ! Elle lui manquait vraiment, en semaine... Elle qui avait su combler un peu vide que la mort de ses parents avaient creusé en lui. Elle lui apportait amour, chaleur, paix de l'esprit... Et à présent, quand elle n'était pas là, il sentait un vide étrange en lui qui lui donnait l'impression de ne pas se sentir entier.


HJ : T'inquiète, je comprends ^^

Seuls, pendant toute une soirée. Sans le brouhaha environnant provenant du pub. Là, tout le monde, si il tendait l'oreille, pouvait écouter leur conversation, être témoin de ce moment privilégié ; le seul depuis longtemps d'ailleurs. Elle esquissa un sourire radieux et but une nouvelle gorgée de Bièraubeurre.
- Avec grand plaisir. Ce soir je crois que ça peut être possible, répondit-elle en souriant de plus belle. Tous les deux, ensembles et seuls l'espace de quelques heures. Loin de la satisfaction de la famille Weasley. Elle s'était elle-même toujours demandée si cette dernière avait planifié leur union. Ils allaient bien ensemble fallait dire. Intelligents, ayant réussis tout les deux et amis d'enfance... Tout les unissaient. Et finalement, ils ont finit ensemble.
Victoire était impatiente. Impatiente de finir sa Bièraubeurre, de payer et d'envoyer un petit message à l'infirmière de Poudlard lui disant qu'elle prenait congé toute la soirée. Elle avait été très active auprès des élèves ces dernières semaines ; elle avait bien mérité une pause. Ted avait lui-même l'air libre ce soir et ils auraient donc toute la soirée devant eux, libres et indépendants. Ils ne se voyaient pas assez souvent à son goût. Ils ne se parlaient que par Hibou, ce qui n'est pas souvent très confortable et rapide. Ils ne pouvaient pas se dire tout ce qu'ils voudraient se dire, ni se toucher et entendre leurs voix respectives. Ça lui manquait affreusement et elle attendait les vacances avec impatience.
Poudlard et l'Ordre étaient deux clients exigeants et les deux tourtereaux se devaient de les satisfaire. Victoire avait encore environ deux ans à passer dans l'école avant

Cependant, une question lui trottait dans la tête. Où iraient-ils ? Peut-être pourraient-ils transplaner jusqu'au Chemin de Traverse, profiter de quelques boutiques ou même aller dans le monde Moldu et se moquer de ces Non-Sorciers ? Elle respectait les Moldus bien sûr ; mais elle trouvait souvent leurs habitudes étranges et ils utilisaient d'étranges outils. Des sortes de boîtes accompagné d'un autre boîtier plus petit garni de lettres et leur permettant d'écrire ou de naviguer sur une toile.
- Où est ce que tu voudrais aller ? demanda-t-elle en appuya son menton dans sa paume droite. Elle observait son doux visage, ses grands yeux marrons... Mais son regard revint vers le dossier posé sur la table entre les mains de Ted. Nymphadora Tonks. Ou plutôt TONKS Nymphadora. Victoire aussi était curieuse d'en savoir plus sur les prédécesseurs de Ted. La curiosité de Teddy était la sienne. Elle aimait beaucoup lorsqu'il se métamorphosait car il avait hérité de ce don de sa mère. Elle se souvenait de leur enfance, quand les cheveux du petits garçons habituellement brun se colorait de bleu électrique. Ou que sa bouche s'allongeait pour devenir orange et le transformer en canard. Elle eut un sourire et reprit sa distraite contemplation, songeant aux lieux où ils pourraient aller ensemble. En tout cas, elle ne voulait pas rester ici. Le bruit environnant la gênait. Ils ne pouvaient pas discuter sans hausser la voix.

Se sentir vide... ? Ne pas se sentir entier loin de l'être aimé ? Teddy se demandait si c'était ainsi se sentir amoureux ? Il se demandait si c'était la même chose avec tout le monde, si son père par exemple avait jamais ressenti cette sensation lorsqu'il était loin de sa mère... est-ce que c'était cette impression qui avait poussé sa mère à finalement le rejoindre pour combattre à ses côtés, le laissant lui, Teddy, seul avec sa grand-mère ? Il ne souvenait plus de ce jour-là, il ne pouvait savoir évidemment que son père avait demandé à sa femme de ne pas venir se battre ce jour-là, de rester avec leur fils ; de faire qu'au moins une personne ne risque pas sa vie ce soir... Et qu'une au moins reste en vie pour s'occuper de leur fils. Il avait essayé de l'empêcher de venir quitte à le lui faire promettre... Mais elle n'avait pas pu. Pourquoi ? Pour Teddy, elle devait l'aimer plus fort que tout, plus fort que la mort elle-même et n'avait pas voulu que celle-ci les sépare... S'était-elle à ce point sentie vidée pour que la distance lui soit intolérable et qu'elle ne résiste pas à l'envie de le rejoindre … Parfois, il essayait de se mettre à sa place. Il essayait de comprendre... Il ne lui en voulait, il ne leur en voulait pas. Il aurait voulu poser tout un tas de questions à son père, lui demander s'il avait ressenti la même chose en rencontrant sa mère....

La réponse de Victoire le fit sourire de plus belle. Qu'il avait hâte qu'ils soient rien que tous les deux et profiter simplement d'une soirée tranquilles et loin de leurs familles respectives ; seuls à profiter d'une belle soirée qu'ils avaient tous deux bien mérité. Il reprit sa choppe entre les mains et ce fut assez rapidement qu'il la termina ; après quoi il la déposa devant lui, sur la table, attendit que Victoire la finisse elle aussi. Il ne pouvait s'empêcher de lui sourire, ravi qu'elle ait elle aussi sa soirée de libre pour qu'ils puissent ne serait-ce un peu profiter d'un peu de leur présence l'un et l'autre. Ils regrettaient souvent qu'ils n'aient pas autant de temps libre qu'ils le voulaient. Enfin, il espérait au moins avoir les vacances de libre, mais parfois les fins de semaines, ils étaient sur-bookés. Même les weekends. Il n'avait le temps, le soir, d'envoyer un hibou à Victoire - . Ils correspondaient bien souvent que par cette seule manière. Mais ce soir... Elle serait son infirmière rien que pour lui ! ( Non non, il n'y aucun là-dessus, je vous assure !).

Ils pourraient aussi ne pas aller s'enfermer de suite et au contraire aller manger une glace, se promenant sur le chemin de Traverse ou dans le Londres moldu... il aimait bien marcher du côté de la gare de King's Cross, nostalgique du temps où il y avait été. ô combien d'heures il avait passé à observer de loin le saule cogneur, dès l'instant où Harry lui avait appris qu'il avait été planté le jour de l'arrivée de son père à Poudlard et qu'il avait été planté pour lui... Il aimait marcher dans les couloirs du château, discutant avec les tableaux... Harry lui avait parlé de la salle sur demande. Depuis lors qu'il avait su qu'il existait une telle salle, il s'était mis à la chercher. Il avait finalement réussi à sa troisième année. Au Noël de cette année, il y avait entraîné Victoire, totalement enchanté d'avoir réussi à découvrir cette salle aussi. Parce que Harry lui avait dit qu'une telle salle existait mais il n'avait pas voulu lui dire où, sans doute pour le faire la trouver par lui-même... Cela avait été un total hasard d'ailleurs qu'il l'avait trouvée. Le regard d'émerveillement qu'il avait eu soudain en entrant dans cette salle aux allures grandiose... Il n'avait pas encore eu à tester les différents « visages » qu'elle pouvait prendre mais il l'avait testé ce jour-là. La salle sur demande, la salle qui pouvait devenir ce que l'on souhaitait qu'elle devienne...

Sa salle commune lui manquait tellement aussi... Ma salle commune était sans nul doute la plus confortable et chaleureuse qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Constamment éclairée par le soleil se déversant par les grandes fenêtres, le plafond certes bas mais il y avait toujours un bon éclairage dû au soleil qui se déversait dans la pièce ; il y avait beaucoup de plantes, d'objets en cuivre ; il aimait se poser là, et observer pousser les plantes... Pas si vite évidemment.
Il y avait tant d'enchantements à Poudlard...
Parfois, il aimerait bien retourner à Poudlard... Il eut envie soudainement d'y retourner mais il chassa cette envie soudaine de sa tête.
Lorsqu'elle lui demanda où il voulait aller, il lui répondit en lui retournant la question :

« Et toi, tu veux aller où ? Il y a le glacier à Londres où on avait l'habitude d'aller... » C'était son parrain qui l'avait emmené là pour la première fois et c'était devenu un rendez-vous régulier qu'il soit seul ou accompagné. « Ou ailleurs ? A toi de choisir la prochaine destination. », fit-il avec un sourire tout en se levant de sa chaise – étant donné qu'il avait fini de boire - sans avoir bien sûr oublier d'attraper le dossier de sa mère pour le glisser dans son sac. Il lui présenta ensuite sa main, attendant qu'elle fasse de même.
Que ses désirs s'exaucent !