j’étais tranquillement endormie dans mon lit quand quelque chose me sauta dessus en ronronnant, miaulant et me poussant. Les autres filles eurent tôt fait de me faire comprendre que ce chat n’étais plus le bienvenu cet nuit... je me dit que j'allais me coucher dans le canapé de la salle commune mais le chat de ma mère ,me demander pas comment il est venu a poudlard, en avais décider autrement il me miaula jusqu'à ce que je sorte de la salle commune... m'excusant auprès de la grosse dame lui disant que je sortais le chat et la suppliant de pas prévenir les profs.

« je vous laisse une heure jeune fille ne vous perdais pas sortez le chat et remonter »

je ne sais pas pourquoi elle fut si accommodante, c'était comme si j'avais pris du felix felicis sans en avoir vraiment pris je le remercia et partit a la suite de Pattenrond qui ne cesser de miauler en le suivant j'atterie dans le parc vide.. ou presque. La bas près du lac se trouver un couple et de l'autre coter un homme que j'aurais reconnue entre mille même sans que mon chat lui saute sur la poitrine en ronronnant.

« bonsoir jen... alors c'est a cause de toi si le chat est chiant se soir ? Que lui a tu encore fait ? »

je disais sa en rigolant car le chat dormant sur mon lit le pouffy ne pouvais rien lui avoir fait mais comme se chat avais tendance a aimer braver les règlement.. je me douter bien que j’allais avoir ma première heure de colle. Hein comment fait une weasley pour passer un an sans avoir dheure de colle ? Bon j'avoue j'en ai eu.. a cause de scorpius, de james ou de roxanne et fred.. mais sa compte pas j’étais pas la seule responsable.. la si j'ai une heure de colle je ne m'en prendrais qu'a moi même ou a pattenrond. Mais c'est pas sympa de rejeter la faute sur le chat même si c'est entièrement sa faute quand même !. !. !

je m’assit a coter de jen en tailleur et sorti de mon sac (oui j'ai toujour mon sac sur moi) une boite de plume en sucre et lui en proposa une même si je me douter que ce n’étais pas son genre et en suçota une.

« dit moi sa t'arrive souvent de sortir comme sa en pleine nuit ? Tu te fait jamais choper ? »

je me mis a caresser le chat qui étais revenu me voir et j’attendis tranquillement les réponses de Jen..

il prit une plume et commença a la suçoter tandis que je caresser Pattenrond

"Pauvre bête, tout seul, dans tes bras, comme il doit avoir peur."

je secouais la tête avec le sourire et rigolais

« en tout cas il a moins peur de moi que de toi... la preuve c'est sur moi qu'il ronronne »

Il souriait il m’embêter mais je rendais pique pour pique.. avec lui j'avais plus de mal quand scorpius s'en prenais a moi

"Et non, je ne me fais jamais choper. Je suis grand, j'ai des astuces."

je le regardais perplexe il avais du se faire prendre au début mais je ne dit rien apres tout si il aimais se faire passer pour un as pourquoi pas rever fait du bien a tout le monde

"Entre vingt trois heures et minuit, il n'y a personne dans les couloirs."

« je sourie oui mais il est quatre heures et demi du matin pas minuit donc comment compte tu rentrer sans te faire prendre ? »

je neu pas le temp de réagir qu'il s'etais mis a fumer je fronçais les surcils et lui arracher la cigarette des mains et l'ecraser sur le sol

« hey pas de sa a coté de moi ! Je tien a ma santé merci »

son grand père Granger lui avais dit que fumer a coté d'une personne étais pire que si la personne fumer elle même car elle étais du mauvais coter du filtre. Et de toute façon je ne supportais pas l'odeur du tabac donc sa régler définitivement le problème

"Et toi pourquoi tu n'es pas au fond de ton lit à roupiller comme toutes les petites filles bien sage ?"
la je rigolais franchement et attrapais le chat par sous les pattes pour le lui montrer

«a cause de ce petit vieux qui a décider de réveiller tout le dortoir au point que les autre m’ont éjecter et comme il avais envi de sortir j'ai été obliger de le suivre... mais il sais bien a quel moment se cacher »

je reposais la grosse bête et lui grattouiller le crâne en soupirant et en baillant. Et voilà j’étais fatigué... puis soudain j'eu une idée .

« au fait jen ? Tu me rendrais un service ? »

Teenage dreams in a teenage circus. Running around like a clown on purpose. Who gives a damn about the family you come from? No givin' up when you're young and you want some. Running around again. Running around again. Running from running. Running around again. Running around again. Running from running.

Elle n'avait jamais été et ne serait jamais qu'une minie chose, presque inutile, dont tout le monde se fichait dans un sens comme dans l'autre. Une petite rousse descendante d'une famille trop nombreuse qui passait dans les couloirs, parfois un peu bizarre, à laquelle on faisait difficilement attention, sauf quand on avait vraiment du temps à perdre. Et on avait du temps à perdre quand il n'était même pas cinq heures du matin et des plumes à sucre sous les dents.

Il la fixa une fraction de seconde et reprit une autre cigarette. Règle numéro un pour ne pas énerver Jen Daniel Lockard : on ne touche pas à ce qu'il a dans la bouche. Cela pouvait aussi bien concerner la nourriture qu'une plume et surtout pas une cigarette.On ne touche pas à la cigarette de Jen, sauf si évidemment on est suicidaire ou sidatique et que l'on a envie d'abréger ses souffrances. Cela n'avait pas l'air d'être le cas de Rosalie, petite fille en bonne santé. Il l'alluma de nouveau mais la tient de l'autre coté de la jeune Gryffondor. On ne savait jamais, des fois qu'elle recommence.

"Je ne rentrerais pas. Il est trop tard pour que je m'endorme."

Devant eux, le couple se releva en riant et se dirigèrent vers le château. Jen souria.

"Eux par contre, ils vont se faire avoir et vont gagner une retenue. Et des points en moins."

Quand on arrive à sortir, il ne faut surtout pas re-rentrer. Règle numéro un des vadrouilleurs de parc.

"Quel genre de service veux-tu que je te rendes ? Et surtout, comme tu paies ?"

Si elle s'attendait à un truc gratos, elle se mettait le coude dans l'oeil. Déjà que Jen ne rendait pas souvent des services mais si en plus il ne recevait rien en échange, plus rien n'allait, franchement. Il étouffa un baillement et ravala un peu de nicotine. Il ne se lasserait décidément jamais de cette sensation.

Il tendit son autre main et caressa les poils du chat, qui ronronna. Lui au moins était pépère, tranquillle et n'avait pas à forcer. C'était dégueulasse comme vie, traitre.

Il se releva et rangea ses cigarettes dans sa poche, hors d'atteinte de la Miss.

"On en reparle plus tard ... Faut que j'y aille."

Il s'en alla à la recherche d'un coin tranquille, puisque même le parc n'en était plus un.


HS : On s'en refera un