Dereck /Savanah

❝Lentement j’ouvre les yeux. Je suis en train de dormir sur le canapé du salon chez moi. Enfin, chez mes parents. Non. Chez ma mère et l’homme qu’elle a epousé. Je refuse de retourner dans mon ancienne chambre, je n’ai aucune idée d’a quoi elle pourrait ressembler maintenant. Depuis qu’ils m’ont envoyé au service de Voldemort. Je ne sais plus depuis combien de temps j’execute les ordres, ce que je sais, c’est que je n’ai pas eu le temps de me poser chez moi depuis. A chaque fois que je revenais, une nouvelle mission m’attendait, m’envoyant toujours plus loin en Angleterre, au pays de galle, ou meme en Irlande. J’ai vu du pays, c’est le moins qu’on puisse dise. Mais je ne l’ai plus vu elle. Je veux dire, il y’a eu des filles, il y’a eu des aventures, mais depuis ,je ne pense qu’ a elle. Je n’aurais pas du revenir dans cette maison. Ca me rappelle nos jeux d’enfants qui n’avaient rien d’innocents. Ca me rappele nos moments.

Mais Lentement j’ouvre les yeux, et je me rappelle où je suis… Et pourquoi j’y suis. J’ai fini une mission plus tot que prévu, et j’avais decidé de venir au manoir, parce que j’esperais la croiser… Et aussi, parce que j’avais une grosse blessure à l’épaule, après un combat contre un auror, et que c’était l’endroit le plus proche. Je gromele un peu. C’est un bruit qui m’a reveillé, comme quelque chose que l’on casse. Je n’ai aucune idée de ce que c’est. C’est peut être mère, qui est rentrée un peu ivre. Ou alors c’est des intrus. Je ne sais pas. J’attrape ma baguette, et mon air le plus renfrogné, et je sors du salon, cherchant la source du bruit. Je ne suis pas très rassurant. Meme torse nu comme ça, avec ma grosse entaille sur l’épaule. Je n’ai pas pensé à me rhabiller, en même temps. Je suis chez moi… Meme si je m’y sens comme un étranger.

Encore un bruit de casse, je m’approchais de l’endroit. C’etait dans un autre salon je crois… Je ne me rappele plus bien la typographie du manoir. « Qui est la ? » Ma voix est rauque un peu, comme la voix d’un homme au réveil, et je ne suis pas d’humeur. Mais je m’approche, je penetre dans la salle, et je reste figé. « Savanah ? » J’en aurais presque laché ma baguette, mais je reprend ma contenance à temps. J’essaye de rester droit et de … En réalité je suis figé, j’esperais la croiser, mais je ne croyais pas que je la croiserais, la est le paradoxe. Elle est fidele à mes souvenirs, non… Ce n’est pas vrai. Elle est plus sombre que dans mes souvenirs, plus vieille aussi. Combien d’années sont elles passées ? J’ai perdu toutes les notions.

« Qu’est ce que tu fais la ? »

En réalité la question c’est plutôt à elle de me la poser, mais… Enfin je ne sais pas quoi. Et je reste bloqué sur le pas de la porte. Dans l’encadrure en fait. Elle m’a pas oubliée quand même non ? Nan, un type sexy comme moi, ça ne s’oublie pas. Je crois.

Dereck /Savanah

❝Plus je la regarde, plus je me dis que j’ai loupé de trop longues années. Savanah. Ils nous ont separés. Ils m’ont rendus mauvais. Non, j’étais mauvais à la base. Qu’est ce qu’on s’en fiche, je suis bien tel que je suis. Mais toutes ces années, jamais je ne m’étais senti complet. Malgré tout ce qui se passait… Malgré tout ce que je pouvais faire, je ne me sentais pas complet… Les années de séparation n’y changent rien, je suis heureux de la voir. Je suis juste surpris c’est tout. C’est pour cela que je ne bouge pas, que je reste la, à la regarder, comme on reste figé face à un fantôme. Allez, je secouais un peu ma tête et je reprenais mes esprits, on allait pas être choqué pour si peu n’est ce pas ? Elle avait failli me jeter un sort la ou j’avais revé… ? Enfin, heureusement en voyant mon torse parfait elle s’était retracté. Et elle rangeait sa baguette maintenant. Moi aussi je la rangeais, paf. Poche arriere, ça ne me rendait pas ma mobilité. Je la regardais. En lui demandant ce qu’elle faisait ça… Question qui me semblait encore plus con après sa réponse. Oui, elle habitait ici…. Moi, je n’y’habitais plus. Elle avait raison, j’étais censé être partout dans le monde. Pas ici. Je me fendais juste d’un petit sourire.

« Je suis capable de prendre mes décisions seul. Il n’était censé y avoir personne, et j’ai fini plus tot mon travail…. » Mon travail…. ? On aurait presque cru que j’étais quelqu’un qui travaillait dans un bureau et qui rentrait tranquillement chez lui après avoir été efficace dans le rangement de dossier. Mais non, mon travail a moi c’était de semer la terreur, c’était extermination et effroi. Et je le faisais bien. Si bien, que j’étais le preferé du maitre pour les missions de ce genre. Partout dans le pays. Le père de Savanah était après tout un de ses meilleurs mangemorts, alors c’était comme un service que lui rendait le maitre. Oui, meme le maitre tombait aussi bas. Le baiser mit fin à toutes mes réflexions. Il exprimait le manque, le désir, toutes ces choses dont on avait été privés pendant toutes ces longues années. Je souriais, et je glissais la main dans son dos pour la maintenir contre moi. Meme après. Meme quand elle recula ses lèvres. Elle demeurait proche. Elle l’avait toujours été, en pensées quand elle ne pouvait l’etre physiquement.

Pas de sentimentalisme aigu entre nous. Pas de tu m’as manqué. Le baiser dirait tout, et si il n’en avait pas assez dit, nous nous embrasserions de nouveau. Je me contentais de sourire. Je ne devais pas être ici hein… Je haussais un peu les epaules. « Qui le saura ? » Au fond mon excuse était déjà toute prete si le maitre me demandait des explications. J’étais blessé, et j’avais besoin d’un endroit calme pour reprendre mes forces après avoir accompli ma mission brillamment. Il ne me croirait pas, le maitre ne croyait personne, mais peut être que les sorts seraient juste douloureux. Et pas mortels. Maintenant que je l’avais revue, je ne pouvais me résoudre à partir tout de suite.

« J’ai vu du sang par terre. Tu es blessée ? » Oui, je n’avais pas pu m’empecher de trouver qu’elle avait une drôle de demarche. Un peu comme… Et bien je n’en sais rien. Mais elle avait une drôle de demarche. Que lui était il arrivé ? Tout ça, ça m’amenait à ma prochaine question… « Tu dois avoir des choses à me raconter non ? »

Dereck /Savanah

❝J’étais la. Face à elle. Je n’arrivais pas à y croire. Je n’arrivais pas à réaliser ce qui passait la… Maintenant ? On m’avait empeché de la voir si souvent ? 10 Ans… Presque 10 Ans… Je savais qu’elle avait rejoint le Maitre, mais on m’avait toujours empeché de la voir. Son père avait une trop grande influence… Je… Savanah quoi. Je n’en croyais pas mes yeux. J’avais bien fait de venir ici. J’avais bien fait d’etre blessé. J’etais… content d’avoir été blessé. Et je ne la lâchais pas après son baiser. Je la gardais tout contre moi, comme si la distance, ne serait ce qu’infime m’aurait fait trop mal. C’était un peu le cas. Après toutes ces années de privation, maintenant que je pouvais la voir, la toucher, je ne la lâchais plus. Je restais contre elle, je la gardais contre moi. Plus de distance, de séparation. Nous parlions, proches l’un de l’autre. Au diable ma blessure. Je souriais presque.

Mais le risque était toujours la, si ils savaient… Si ils apprenaient que nous nous étions revus, je craignais les conséquences. En meme temps, je ne me laisserais pas faire deux fois. Elle était la. Et je ne repartirais plus. Est ce que ça valait le coup … ? Je n’étais pas très bavard, mais je savais ce qu’elle sous entendait… Qu’est ce qui valait le coup… ? Tout valait le coup avec elle. Je déposais mes lèvres dans son cou, juste quelques instants. Le temps d’un fugace baiser, et puis je me reculais un peu, mais pas trop… pour la regarder. Elle glissait sa main sur mon torse, elle me rendait fou. Ou alors j’étais déjà fou. « Le jeu avec toi vaut toujours tous les risques. » C’était a mon tour de l’embrasser cette fois. Mais je m’arretais, inquiet, gardant mes main dans son dos, en lui demandant ce qu’il lui était arrivé, enfin, si elle était blessée. Le Maitre.. Bien sur, ça ne pouvait être que lui. J’étais glacé par sa réponse et je serrais métaphoriquement les poings. J’aurais du la protéger. Je la protegerais maintenant ? Est ce que j’étais prêt à me dresser devant le maitre pour elle… ? Je préférais ne pas y penser pour le moment. Je restais concentré sur la proximité de nos corps. Ma blessure… ? Hein ? On était quittes. Ah oui… Je souriais un peu mystérieuse. « Un souvenir d’un auror un peu coriace. » bien sur l’auror reposait maintenant au fond d’un ravin, pas la peine d’epiloguer donc. Je faisais un peu la conversation.. Quoi d’interessant ces dernières années… ? ca faisait tellement longtemps. Mais elle n’avait rien à dire et je la comprenais. Moi non plus… Je n’avais rien à dire. Qu’aurais je pu lui raconter ? Les missions secretes du maitre ? Les meurtres ? Les gens dont je m’etais servis pour assouvir mon désir quand dans ma tete il n’y’avait qu’elle ? Non, rien. Alors je restais silencieux et je répondais à son baiser.

« Tout ça, m’avait tellement manqué. » Je la serrais contre moi. Je l’embrassais encore à mon tour. Incapable de rester separé d’elle. Etre privé d’elle, ça m’avait fait réaliser à quel point elle comptait, à quel point elle était … nécessaire. Je ne la lâcherais plus. !

Dereck /Savanah

❝Au fond, nous n’avions rien à nous raconter. Ou plutôt tout ce que nous aurions pu avoir à nous raconter n’auraient étés que choses vaines. Je ne la lâchais pas, son corps, son odeur, tout m’avait tellement manqué. Je ne pourrais pas me résoudre à la perdre encore… Nous nous étions perdus, separés par des gens a qui nous faisions confiance. Nos parents. Pendant 10 ans, … 10 ans, j’avais revé qu’un jour son père devienne persona non grata pour le maitre, et d’avoir le droit de lui porter le coup fatal. A ce moment la j’exulterais de joie. Je me vengerai de ces années de souffrances. De ces années de séparation forcées. Ces années où j’avais du faire des choses sans nom. J’étais devenu moins qu’humain, et je le resterais, je devrais continuer à exécuter les contrats, à jouer avec les gens, a donner mon corps en gardant mon cœur ailleurs. Qu’importait ce soir, le reste n’avait plus d’importance, demain, nous reparlerions de tout ça, de ces choses sérieuses. Demain serait un autre jour, meme si la nuit était déjà avancée. Nous parlions de nos blessures, mais je n’enlevais pas les mains de son corps. Je souriais, mystérieusement, est ce que je m’en faisais pour elle ? Peut être, mais cela faisait parti des choses que nous ne dirions pas. Alors je me contentais de lui lancer un sourire. Toujours mystérieux. Comme beaucoup de mes sourires en fait. « Non, je sais bien que tu es capable de te débrouiller toute seule. » Ma blessure comme la sienne, passeraient, ce n’etaient que des plaies corporelles. Rien de grave, le sang disparaitrait au fil des heures, ce n’était pas le soucis principal de la soirée. Je l’avais retrouvée. C’était tout ce qui comptait.

A demi mot, en parlant de l’auror, j’avais avoué que mes missions étaient dangereuses. Mais elles étaient a la hauteur de mon talent. Voilà tout. C’était drôle à quel point en temps normal j’étais froid, avec un petit rictus mauvais sur le visage, et que la, tout d’un coup, j’étais… euh, ne disons pas chaleureux, ni chaud, ça pourrait être mal interpreté… Mais j’étais heureux, meme si c’était un mot que je n’aurais pas employé pour me décrire. Je frissonnais un peu a cause de sa main qui courrait sur mon torse. Ce jeu. Me plaisait comme il lui plaisait à elle. Et c’est un jeu auquel j’étais content de perdre… Quelques fois. Elle m’embrassait, et me murmurait à l’oreille que ce jeu lui donnait satisfaction. Je ne répondais pas. Non, je me contentais d’un sourire joueur, prêt à l’embrasser de nouveau. Mais voilà, elle m’avait posé une question beaucoup plus sérieuse... Combien de temps allais-je rester ?

« Pour le moment je suis la. » Nous savions elle et moi, que demain je repartirais. Du moins je le savais. Elle devait s’en douter. Les affaires du maitre n’attendaient pas. « Doit on penser à ça maintenant ? »

Je ne rajoutais rien, pour toute reaction je la poussais un peu de maniere à la coincer entre le mur et moi. Elle était… coincée. Aucun moyen de s’echapper n’est ce pas ? Je souriais, d’un air joueur qui était revenu. « Tu ne peux plus bouger. » La lueur de jeu, brillait dans mes yeux, avec énormément d’autres choses, pour l’heure, j’aurais presque pu ronronner de plaisir, et m’etirer comme un gros chaton, mais je ne le faisais pas. Je la maintenais contre moi et déposais un baiser dans son cou.

Dereck /Savanah

❝Bien sur, elle avait compris ce que cela signifiait. Je n'étais la qu'une nuit, aprés mon devoir reprendrait... Et qui saurait combien de jours nous passerions encore sans nous voir. Non. J'étais decidé à ce que les choses changent. Quand je repensais encore que le seigneur des tenebres l'avait blessé, ça me donnait envie;... ça me donnait envie de faire des choses mauvaises, même pour mon propre camps. L'ere du seigneur des tenebres toucherait un jour à sa fin de toute maniere. Pas notre ere à nous. Nos idéaux de pureté du sang, la vie par la torture et le massacre. Ca me plaisait. Le maitre. Ne me plaisait pas. Surtout si il la brutalisait elle. Mais qu'importait, c'était des reflexions pour demain, pour plus tard, pour un jour sur la route. Ce soir j'avais ma soeur tout contre moi et nous avions dix ans à rattraper. Dix ans durant les quels je n'avais d'elle qu'un souvenir, dix ans durant les quels d'autres l'avaient remplacés sans la remplacer vraiment. Etre a la hauteur hein... ? Je la plaquais contre le mur, la bloquant avec mon corps, repondant à son baiser avant de lui repondre. Elle jouait avec le feu, elle savait que ça me provoquerait et que je repondrais à son jeu. Depuis toutes ces années elle n'avait pas oubliée comment me prendre.... ( --" ) , d'un geste de la main elle pouvait me manipuler à sa guise, d'un mot elle pouvait faire de moi son pantin. Mais j'etais un pantin volontaire. Je ne lui étais pas non plus soumis. Ca va pas hein.

« Tu sais que je suis toujours à la hauteur. Tu ne trouvera pas mieux que moi, pour ce genre de... jeu. » Sans attendre d'avantage je l'embrassais de nouveau, grognant legerement de plaisir alors qu'elle enfoncait doucement ses ongles dans la chair pas si tendre de mon dos. J'avais oublié ce que c'était d'être pret d'elle. Son odeur envoutante, sa chaleur. Ces vagues de desirs qui montaient de moi à chaque fois qu'elle était dans les parages. Il n'y'avait plus d'hésitations à avoir. Cette nuit serait la notre. Lentement, je glissais mes levres sur son cou, remontant vers son oreille à la quelle je murmurais : « Peut être que c'est toi qui ne sera pas à la hauteur. » Oui, une chose était sure, j'avais pris de l'assurance moi aussi, je n'hésitais pas à la provoquer volontairement. Je mordais un peu la chair tendre de son cou, sa carotide - parce que oui, je savais où c'était situé - , tout en glissant mes mains sur son corps. Je ne me retiendrais pas longtemps de ... Enfin, de... Voila quoi ! Comment ça se detachait son haut déja, bon... Tant pis. D'un coup franc je dechirais ce qu'elle portait sur le haut de son corps, oups. J'étais pas si tendre que ça hein. Mes mains frolaient doucement son dos. Je prennais note de chacun des details de sa peau... Elle m'avait. Manquée. Mais c'était pas la peine de lui repeter non... ? Pas une fois de plus... ? Le sentimentalisme, tout ça, trés peu pour moi.

Dereck /Savanah

❝La situation... commencait à être tendue entre elle et moi. Et je ne parlais pas de tensions, non... Enfin, si... Mais au même endroit. Enfin, en restant collée contre moi, elle devait s'en rendre compte elle aussi. Je l'embrassais. C'était le temps des défis, le temps de prouver qu'on était à la hauteur. Le temps de se le prouver, il faisait chaud d'un coup. Mais peut être qu'il faisait toujours chaud quand elle et moi etions dans la même piece. C'était peut être ça qui nous avait vendu. Je ne pouvais pas rester quelques secondes sans mettre les mains sur elle, sur son corps. Elle me griffait le dos, je grognais. Comme un mâle. Ah, c'est ce que j'étais. Du coup, j'avais agi en mâle, et j'avais arraché ses vetements, juste le haut pour le moment, enfin... le reste viendrait bien assez tot. On allait pas aller trop vite, je ne souffrais pas de ce genre de probleme la. Et puis aprés dix ans, il fallait bien faire durer le plaisir non. Et qu'elle me croit, le plaisir durerait.

Toujours à la hauteur, venait elle de me dire, je lui souriais, d'un sourire tout plein de sous entendu, la lueur du désir dans mon regard. « Ca reste à prouver.. » Oui, c'était un défi. Qu'elle prendrait probablement comme tel. Elle ne perdait pas elle non plus un moment, et aprés avoir enlevé ma ceinture d'un coup franc, elle s'aggripait à moi, autour de moi, ses jambes autour de ma taille. Blottie contre moi. J'étais envahi de son odeur, de ses levres dans mon cou, sur mes levres aussi. Je glissais une main sous ses fesses pour la maintenir, j'étais musclé faut pas croire, une main ça suffirait, et l'autre main je la glissais dans son dos, dans ses cheveux. Je degraffais son soutien gorge d'un geste expert - Quoi... ? J'avais pratiqué quand même pendant des années - et je mordais ses levres legerement... Puis moins légerement.

Pouf. Je bougais un peu, collant son dos contre le mur, en bon male dominant. Niark. Une chose etait sure, moi aussi je montais en fleche la. Enormement beaucoup. Et qu'on se le dise, mes boxer sont mieux que ceux de Zack. « Alors le mur te convient ? Pas trop dur pour ton dos délicat ? » Okay. Je la taquinais aussi. J'étais comme ça moi... Et je mordais à nouveau sa levre. Oups. N'empeche... Ca serait perturbant que quelqu'un debarque !

Dereck /Savanah

❝Et voila, j'avais degraffé son sous-tif comme un chef. Bien sur que j'avais fais ça comme un chef, j'etais Dereck Astings, j'étais un dieu du sexe... Bah, en fait elle m'avait tout appris au debut, j'étais qu'un pauvre gamin hésitant, mais avec les années de pratique, avec elle, puis aprés avec d'autres... J'étais devenu doué. Plus que doué. J'étais orgasmique. Qu'on se le dise. Oui je m'etais entrainé, et je ne me formalisais pas trop de son ton... Il etait joueur, il n'était pas aggressif ou critique. Bien sur qu'il y'avait eu d'autres femmes, mais ça... l'organe qui faisait boum boum sous mon sein... euh... sous mon pectoral gauche, il n'appartenait qu'a elle. Je souriais, carnassier et joueur moi aussi . « Ca aurait été du gachis que ce corps la rouille sans activité non? Mais je ne me fait pas de soucis sur le fait que tu as du bien t'entrainer aussi. » Oh non, je ne me faisais pas... de soucis du tout. J'avais entendu parler d'elle quelque fois pendant ces années. Ca ne m'avait pas plu... Les gens n'avaient pas toujours survécu. Maiiiiiiis ! Je n'avais rien à dire. Je faisais pareil. Et on etait trés bien comme ça.

Pour le moment je la plaquais contre le mur, la coincant contre moi, prét a devorer son epaule. Et autre chose. Hein quoi ... Chut ! Je mordais ses levres ! Vous vous imaginiez autre chose... ? PERVERS ! Non j'en suis pas un. J'en etais où du coup ? Je suis deconcentré par le petit demon sur mon épaule. Woww. Plus le temps de reflechir, elle venait de reagir et c'était moi qui me retrouvait plaqué contre le mur. Grrrrrrr. Tiens, je grognais encore... Son corps délicat hein... ? Je souriais. « Je ne m'en fais ni pour ton corps delicat, ni pour ton esprit pur et chaste. » Je souriais un peu, glissant mes mains sur sa poitrine, sur son corps parfait, sur ses hanches, defaisant doucement moi aussi ce qu'elle portait en bas. Mais que portait elle... ? Grande question. éè C'est qu'elle etait belle hein... Wow. Elle avait... grandi. Ouais c'était le cas de le dire. Vachement muri aussi... Elle etait devenu une magnifique femme. Dont je comptais bien profiter toute la nuit, et toute la journée et ... tous les jours a venir. Oui, il en fallait de l'endurance. ( ) Si vous saviez... J'en avais a revendre. Mais je gardais tout pour moi. Niark. J'étais égoïste.

Une chose était sure, j'aimais bien la façon dont elle me tenait contre le mur. J'avais passé des années a être le dominant aprés tout. C'était... mieux d'être avec une egale. Et pas n'importe la quelle. Je me mordais la levre en poussant un leger gemissement. Oui oui, je suis un homme qui gemit. Non mais. Non vraiment, fallait pas que quelqu'un rentre parce que pere noel, seigneur des tenebres, mere, beau pere... Ou autre stupidité du genre.... Un coup de baguette... Celle en bois hein ? Et c'était fini. Mon autre baguette servait pas à ça... Tssss. « Grrrrrr! . » Oui... Bah... oui. Je grognais. Voila.