Prologue
Avant de vous raconter mon histoire, je vais faire une bref intro sur l’histoire de ma mère, ça sera bref, ne vous en fait pas, mais on ne peut pas apprendre l’histoire de quelqu’un sans pour autant connaitre quelques trace du vécu de celle qui a mis le monde cette personne en question. Bref, commençons.
Ma mère pourrait être considérée comme une héroïne de guerre, car elle a participé à la chute du grand mage Noir, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, pour moi, rien que d’avoir participé à tout ça, ma mère est la plus vaillante de toute les femmes, ma mère sera pour moi la plus forte. Bien qu’après la guerre, elle avait fait une grosse erreur, la pire qu’elle n’ait jamais fait… je dois avouer que ma mère n’a jamais été très douée pour choisir ses compagnon, elle est tombée une fois amoureuse d’un français, qui l’a mis alors enceinte, lorsqu’elle lui annoncé, le fameux français avait fui. Quel pitoyable, misérable, lâche. Cette aventure donnait alors naissance à mon frère ainé, qui eut la malchance d’avoir comme prénom celui de son père, Thomas. Bon j’avoue, que Thomas est le plus merveilleux des frères, je le conçois, mais j’en veux à son progéniture. Ma mère éleva alors seul mon grand frère. Un peu plus tard, ma mère tomba sous le charme d’un bulgare qui lui avait promis monde et merveille, comme tous les hommes qui veulent mettre une femme dans son lit hein… Bref, cette aventure dura plus longtemps, tellement, qu’au moment où celle-ci était tombée enceinte de moi, elle se trouvait en Bulgarie. Bon, là j’avoue, qu’elle n’a pas fait exprès de perdre celui qu’elle aimait… Mort… Tragique, je le conçois. Bref, elle devait maintenant élevé seule deux enfants, et en plus dans un pays dont elle ne maitrise pas complètement la langue.
Voilà pour ce qui est de la bref histoire de la vie de ma mère, passons à la mienne…
Chapitre 1
Je ne vais pas vous redire que je suis née d’une relation sans avenir, que mon progéniture est mort de maladie, que ma mère m’a élevé seule avec mon frère Thomas, ça je l’ai déjà dit. Ce que je n’ai pas dit c’est l’après, ma vie à moi, enfin le début.
J’ai eu une enfance plutôt heureuse, aimée par une mère qui fait tous pour ses enfants, jusqu'à passer ses propres besoin au second plan. J’ai vécu avec un grand frère protecteur et tout aussi gentil qu’attachant. On n’a jamais vraiment manqué de grand-chose, ma mère avait fait partie des gens qu’avait reçu une récompense pour service rendu au monde sorcier, pas une grosse somme non plus, mais assez pour s’acheter une maison. Il ne fallait pas oublier que ma mère, Cho Chang, était née dans une famille qui ne manquait de rien non plus, donc, vous voyez la suite.
Ma mère avait tenue qu’on aille mon frère et moi dans une école primaire moldu, pour nous apprendre la vie des moldus, mais aussi les basique, lire, écrire, vivre en communauté, bien que, je dois l’avouer, j’étais plus souvent dans le bureau du directeur avec ma mère que dans la cours de l’école en récréation. Je fais plus de bêtise que la moyenne, et ça, ça avait le don d’agacer mes précepteurs, mais ça amusait la plupart de mes camarades. Je n’étais pas tellement réjeté quad j’étais petite, j’avais des amis moldu fallait avouer, que je ne m’énervais jamais, je suis quelqu’un de calme. D’après ma mère, lorsqu’on est enfant, et sorcier, lorsqu’on s’énervait, il était fort possible que des choses inexplicable pour les moldus se passe, souvent ce genre de chose inexplicable pourrait effrayer les moldus, simplement parce que c’est des évènements inexplicable. C’est dommage que les moldus ne croient pas à la magie, comme ça, on pourrait tous vivre ensemble.
Bref je disais donc que j’étais une enfant, disons, hyperactif, fallait tous le temps que je bouge, rester assise plus de 20 minutes, non s’était impensable. J’ai jusqu'à mes onze ans, posée beaucoup de soucis à ma mère. Des fois, en rentrant de l’école, elle allait s’enfermer dans sa chambre, et je l’entendais sangloter, ça me fendait le cœur. À chaque fois que j’entendais ma mère pleurer, je me promettais de plus recommencé, mais c’était plus fort que moi. J’avais besoin de faire des bêtises pour me faire aimer de mes amis moldu, j’avais peur qu’ils me fuient en sachant que je n’étais pas comme eux. J’avais besoin de ça, pour faire croire que j’étais comme eux, une enfant moldu. Je me souviens, lorsque ma mère allait pleurer dans sa chambre, j’allais toujours préparer un bon chocolat chaud, s’était-elle qui m’avait appris à les faires. Mes chocolats chaud avec des guimauves dedans, elle en raffolait, et ça avait le don de la faire sourire. Je faisais tous pour me faire pardonner mes bêtises.
Un jour, pendant les vacances de noël, mon grand frère qui était à Durmstrang, l’école des sorciers était rentré, il avait beaucoup neigé ce jours-là. J’aimais beaucoup la neige, on était la veille de noël. Avec mon grand frère, on avait fait un bonhomme de neige, et une fois qu’il fut fini, mon grand frère me dit en riant :
- Whint’, tu sais à qui il me fait penser notre bonhomme de neige ?
- Non, à qui, grand frère ?
- Il me fait penser à mon directeur, il a un aussi vilain nez !
J’étais morte de rire lorsqu’il m’avait dit ça, ma mère alors qu’elle venait nous dire de venir à table s’était mise à rire aussi. On formait une belle famille, j’étais heureuse.
- Et bien mes enfant, moi, votre bonhomme de neige, il me fait penser à mon ancien professeur de potion, le même air rochons et le nez crochu ! Il manque plus que les cheveux gras !
Et hop ! Un nouveau rire ! Maman nous racontait souvent sa scolarité à poudlard, la vie d’un certain Harry Petteur… Euh non, Potter ! j’ai toujours eu du mal avec ce noms. Elle me racontait aussi, qu’avec ce célèbre Potter se baladait toujours ensemble, une certaine Hermignonne Granger, et un Ron Waisley !
- Maman ! raconte nous encore l’histoire de Harry Petteur et de ses amis Hermignonne Granger et Ron Waisley !
- Ma puce, ce n’est pas Harry Petteur, mais Harry Pot-ter, Hermi-onne Granger, et Ron Weas-ley !
- C’est pareil ! Raconte-nous ! Allez s’il se plait !
On était une famille joyeuse, même si maman était seule pour nous élever moi et mon frère, on ne manquait de rien, même lorsqu’il fallait racheter des affaires scolaires pour moi. Et oui, j’allais faire mon entrée à Durmstrang !
Chapitre 2
Durmstrang, me voilà enfin dans les couloirs de Durmstrang. C’est étrange, j’aurais imaginé l’école mieux que ça, mais en fait non. Ce n’est pas si terrible que ça, je me l’aurais imaginé comme pour Poudlard, comme les photos que maman nous avait montré mais non, ce n’est pas pareil. Je suis plutôt déçu pour le coup. C’est mon premier cours la aujourd’hui, je me demande comment ça va se passer… Parait que c’est dur les potions, mon grand frère, qui a un an de plus que moi, dit que c’est dur. Peut-être parce qu’il est nul en potion. S’il m’entendait penser, il me tuerait… Bon déjà… Le prof a l’air très sympa… Vous l’avez remarqué, je suis ironique… Par merlin on dit un gobelin de dix fois plus grand et plus gros, avec le nez de la sorcière dans Blanche neige, en plus y a le même bouton au bout, eurk, il me donne envie de vomir… Bon aller prenons notre courage à deux mains et entrons en cours…
- Bienvenue dans votre premier cours de potion…
Punaise, mais la voix de castor qu’il a !!! Ça va avec son physique de Gobelin déstructuré ! Mon dieu, j’ai envie de dégueuler la ! Mon frère était gentil lorsqu’il me le décrivait, mon dieu, que le cours finisse vite !
- Aujourd’hui, les cours porteront sur les bases des potions…
Et en plus, je vais me faire chier comme pas possible… Autant sortir un parchemin et dessiné un bon coup, ça m’occupera plus que ça théorie stupide et ennuyeuse…C’est ce que je fais, une fois qu’il eut le dos tourné, j’ai sortis un parchemin et une feuille et j’ai fait autre chose. J’ai fait ça tous le long des deux heures de cours ! Au moins, je me suis moins ennuyé !! Et enfin la sonnerie ! Après potion nous avons…. Nous avons quoi déjà ?! Je sais plus. Bref, je suppose que se sera mieux que le cours de potion, qui je dois dire m’a couté un avertissement… Je crois que mon prof n’a pas aimé que je dessine pendant son cours… Au moins, ça a fait rire tout le monde, même moi ! Bref les cours se sont fini dans un rire monstrueux, c'est pendant cette heure qu'on m'a collé l'étiquette de trouble fait par les élèves et les professeur. Malgré ce premier cours des plus mouvementé, les autres fut bien pire. Par exemple, le prochain cours de potion qu'on avait eu, on avait commencé à faire les potions. Bien sur, sans que je m'en rende compte, j'avais fait tomber un ingrédients qu'il ne fallait pas dedans, ce qui eu pour effet de faire explosé mon chaudron, et coloré mes cheveux en rose fluo ainsi que de les faire dresser sur ma tête, ils étaient droits comme un piquet, le visage légèrement crasseuse du au trace de suit... Tous le monde ce mit à rire, évidement, moi je ne savais pas pourquoi il riait, ce n'est seulement lorsque ma collègue de table me montra son miroir, que j'éclatais également de rire. Cette explosion eu effet pour moi une heure de colle, et un allez pour l'infirmerie. Évidement, ma mère fut mise au courant par mon frère, le lendemain, j'ai eu la joie de recevoir une belle beuglante.
-WHITNEY CHANG! DEPUIS QUAND JE T'AI APPRIS A TE COMPORTER AINSI, JE SUIS TERRIBLEMENT DECU JEUNE FILLE!
Ce message eu pour effet de faire rire toute la table autour de moi. Alors que moi, toute gênée avait rentrer mon visage dans mes épaules, et voulu me transformé en petite souris...Ça m'apprendre à être une fille pleine de vie... Furieuse, je lance un regard noir a mon frère qui détourne son regard. Furieuse, je me lève de ma place et le tape sur le haut de la tête, et m'en vais vers l'endroit que je trouve le plus calme, la bibliothèque, marmonnant des insultes contre mon frère.
J'ai passer plusieurs jours a lui faire la tête, tellement j'ai été humilié par cette beuglante. Je préparais pendant ce silence radio une vengeance digne de ce nom. Je passais tous mes temps libre soit à la bibliothèque, soit à questionné des plus vieux sur des sorts que je n'arrivais pas à comprendre. Puis fut venue le jours ou je devais tous préparé. J'avais piqué quelques ingrédients dans la réserve de mon professeur de potion, et m'était installé devant un chaudron dans une classe vide et abandonné, après avoir lancé un sort sur la porte pour la verrouiller. Je préparais alors la mixture toute la nuit. Le lendemain j'étais soit fatigué, mais prête à me venger. Au petit matin, mon frère arriva dans la grande salle, j'avais mis la potion dans un verre, et remplis le reste de jus de citrouille. Toute souriante, je me posta devant lui.
- Grand frère, je suis désolé d'avoir boudé tous ce temps. Tiens pour me faire pardonner !
Je lui tendis alors le verre piégé, qu'il but sans hésitation. C'est la que mon sourire s'élargit, lorsque ses cheveux se mit a pousser et a devenir blanc, ainsi que barbe blanche se mit a poussé. J'étais fière de moi pour ce coup. Je lançais par dessus mon épaule toute contente de mon coup, « Bien fait ! Ça t'apprendra à me dénoncé à maman ! » Je me mis alors a sautillé tranquillement, lorsqu'un bruit sourd ce fit entendre, je m'étais tourné, et vit mon frère au sol, le cul en l'air, la j'en pouvais plus, j'éclatai de rire, plier en deux. Je n'étais pas la seule d'ailleurs.
Les jours, et les années passèrent dans le même rythme de mes blagues, et ma passion pour les déguisement en tous genre.
Epilogue
- Mes cher élève, j'ai une merveilleuse nouvelle pour vous! Cette années va derouler le tournois des trois sorcier...
Je regardais alors curieuse mon frère puis le directeur...
- Seulement, seul les élèves d'âgés de 17 ans pourront participer au tournois des trois sorcier.
C'est a ce moment que je n'écoutais plus le discours du directeur Krum, vexée, la tête penchée sur mon assiette, puis, je levais mes yeux vers mon frère.
- Dit grand frère, tu va y aller toi?
- Hum oui, t'imagine le prestige si je gagne?
- Faudrait déjà que tu sois prie *ricanement*
- roooh, c'est bon...
- Mais dis, si tu y va, je pourrais y aller moi?
- T'a pas 17 ans que je sache
- mais juste en visite...
- Hum... Faudrait demandé au professeur Krum...
Dis tu peux le lui demander?
Je fais mes yeux de petit caniche mouillé et triste, j'espère qu'il acceptera, c'est la, que dans un mouvement de main, il accepta ma requête, toute contente, je lui sauta au cou et le remercia.
C'est comme ça que je me retrouvais a Poudlard, pour le tournois des trois sorcier... Vous n'imaginez pas comment maman était fière lorsqu'on lui a dit qu'on allait à Poudlard... On lui avait alors promis de tout lui raconter par hibou. J'ai amené avec moi mon chien, Harry, je l'avais appelé comme le héros de l'histoire que maman nous racontait....