Minuit. Londres. Qu'est ce que je fous à Londres alors que les douze coups de minuit resonnent sur Big Ben. Je vous le demande... Non, en réalité vous me le demandez... Et je pourrais bien sur vous repondre, mais voila... Je n'en ai pas la moindre idée. Et puis surtout je n'aurais pas vraiment envie de vous le dire. Bon... Voila. Je me suis enfuis de Poudlard pour le Week end. Houuuuu la vilaine Luka. Non ... Ca fait pas serieux. J'ai profité d'un week end libre. Vu que je suis majeure tout ça, tout ça... Pour visiter ma famille. Officiellement. Officieusement, je n'ai pas de famille, a part ma cousine qui traine quelque part dans la nature a essayer de me retrouver, et plus ou moins Alice qui ... et bien, est a Poudlard ou dans son charmant loft à Berlin, probablement perdue dans sa cave à Martini. Du coup, quelle famille est ce que je peux bien visiter n'est ce pas... ? Je vous le dirais pas... Ou peut etre que si. C'est la famille... inexistante. C'est juste une excuse pour promener dans les rues de Londres. C'est une belle ville vous ne trouvez pas. Et j'y partage ma solitude avec des millions de Londonniens. C'est paisible cette ville de nuit. Ca depend les quartiers je crois. En tout cas une chose est sure, je traine dans le Londres Moldu. La, sur le couloir... Non, je veux dire, la sur le trottoir, des gens de mon age profitent de leur week end pour aller en boite. Certains titubent. Il n'est que minuit, et les rues sentent deja l'alcool. Mais ... l'alcool n'enleve pas le calme de la ville. Ici... mieux qu'ailleurs, j'arrive à ne pas ressentir les sentiments. C'est peut être parce qu'il y'a trop de gens. C'est peut être parce que je m'y habitue. C'est peut etre parce que les moldus ressentent moins fort que les sorciers. Je ne sais pas. Mais ici je suis tranquille pour ballader en observant les etoiles.

Du coup voila... je marche. Les mains dans les poches de mon patte d'eph', mes converses frottant l'asphalte. Il ne fait pas si froid que ça. Mon echarpe... une echarpe neutre, beige, la plus jolie des couleurs - cette couleur que tout le monde aime maintenant ... - pend autour de mon cou et virevolte selon le gré du vent. Je marche. Je suis tranquille. Qui pourrait m'embeter à cette heure ci. Je n'ai meme pas pris ma baguette vous savez... Je n'aime pas dependre de la magie... J'ai juste de l'argent moldu pour les transports, et cette chose merveilleuse que les non sorciers ont inventés. Ca s'appelle un telephone portable. J'ai qu'a appuyer sur quelques numeros, pour sortir Alice de son coma ethylique et la faire venir me chercher si je dois rentrer vite... Merveilleux non ? Oui, comme quoi... Sans la magie on peut vivre quand meme. Et dans l'hypothese ou je me ferais aggresser.... ? Bonne question. Ce n'est pas une hypothese qui me traverse souvent l'esprit. Aprés tout, je suis une gamine suicidaire, c'est pas une petite aggression qui me fera peur. De toutes les manieres... J'aime a penser que j'ai quelques anges gardiens qui sont toujours au bon moment au bon endroit... Et puis, dans tous les cas, la seule chose que j'ai a faire. C'est survivre... Pour Alana.

Bref. Pourquoi est ce que je pense à ça.... ? je devrais pas penser à ça moi... Lentement je leve la tête. Regarder les etoiles ça m'a toujours fait penser à autre chose. La... Orion, dit le chasseur, et puis la grosse ourse... Enfin, la grande ourse. La petite ourse aussi , et l'etoile du nord, la plus brillante de toute. J'ai toujours aimé les etoiles, c'est lié à la mythologie... Tant de legendes, fantasmes d'une humanité qui a toujours cru en la magie sans se l'avouer... Je ne peux qu'admirer tout ça, et j'admire... Addossée à un mur, une Lucky Strike entre les dents... les levres. J'admire. Je suis bien la. tellement mieux qu'a Poudlard.

Ma cigarette se consume et je traine… On dirait que je n’ai que ça a faire. C’est un peu ça… Je suis une pauvre gamine perdue loin de Poudlard… Perdue loin du dortoir où elle devrait être en train de dormir. Je me la joue mauvaise fille, c’est pas ce que je suis. J’aime juste… flirter avec le danger. Je sais, c’est pas bien. Je sais, j’entends déjà les voix de quelques personnes qui me diraient « c’est pas bien, rentre à l’abbri Luka, c’est dangereux. »… Oui mais voilà. J’ecoute jamais ce qu’on me dit. Je sais… C’est mal. Je sais, je suis qu’une pauvre gamine capricieuse et un peu arrogante. Mais j’aime à penser que j’arrive à me sortir de toutes les situations. J’aime à penser que… Bah je sais pas… Bouarf qu’importe. Ca sert à rien de penser à tant de choses. Je suis juste calme la, regardez, y’a une etoile qui brille plus que les autres ce soir, je ne sais pas vraiment ce que ca veut dire, mais Orion, est plus visible que jamais. J’aime bien cette vue, c’est rare d’avoir un ciel non pollué… comme ça. A Poudlard aussi la vue est belle. A Poudlard tout est plus beau, mais j’ai l’impression que comme c’est magique tout est faux. Parce que la magie ce n’est pas la vrai vie n’est ce pas ? On devrait être capable de s’en sortir sans avoir a remuer un morceau de bois. On devrait être capable de vivre normalement.

Personne ne sait le faire.

Et puis quelque chose me tire de mes pensées. D’une ruelle sortent deux hommes… Expulsés comme par magie. Tiens… Jouons avec le feu. Je devrais faire demi tour, quand c’est comme ça en général ce n’est pas un gentil bambi qui promene, mais des sombres mangemorts… Bien qu’on n’en croise que très rarement dans le Londres moldu… J’hesite. J’ecrase mon mégot du bout de la converse. Faisons demi tour. Ou pas. C’est charmant ce qui vient de sortir de la ruelle dites donc. On dirait une dame… Sombre. Doit être une mangemort… Ouais je tire bien vite des conclusions, mais quels autres genre de sorciers assassinent des gens au milieu de la rue comme ça ? Va savoir… Je soupirais un peu. Toujours pas très sure. Bouarf allez… Collons au personnage un peu givrée et suicidaire que j’étais…

Lentement je m’approchais, et je regardais les deux corps, ouais ils avaient pas l’air très… vivant. La femme semblait blasée.... Non, en fait je... Tiens, je la connaissais. Luka, fais demi tour. Non, j'ai pas envie. J'ai envie de lui parler.... « Savanah. » Qu'est ce qu'elle faisait ici.... ? Je n'en savais rien. Moi je savais juste qu'il y'avait quelqu'un de magique ici, et que la soirée allait être moins... molle que prevue. Est ce que j'étais contente de la voir. J'en sais rien. Je savais pas si je devais l'être ou pas... ? C'etait une mechante aprés tout. Enfin. ... Luka... Va te coucher non ? Tsss moi même. Je restais donc la, les bras a demi balant.

Les etoiles me veillent. Je la reconnais cette femme qui traine la auprès des deux corps. Et alors que je m’approche, que je prononce son nom. Elle m’etrangle. Et puis me lache. C’est Savanah. Une membre du ministère. Une femme qui m’intrigue… Qui m’attire. N’ayons pas peur des mots. Voilà. En meme temps quelle femme, assez belle ne m’attire pas. J’ai peut être un soucis. Je tombe sous le charme des gens trop vite… Mais je ne tombe jamais amoureuse. Tant mieux. Je finirais brisée à chaque fois. Ca serait dérangeant en sachant que je le suis déjà. Qu’importe. Elle me faisait mal. A m’etrangler comme ca… Mais quand elle me lâche je ne dis rien. Je me contentais de la regarder un peu. Sans trop savoir quoi dire. Les deux hommes étaient mort… Et elle ne semblait pas savoir comment réagir. Surprise. Voilà elle avait l’air surprise. Et meme si quelque part en moi quelque chose me disait que tout était faux, quelque chose me disait de faire attention, j’étais émue. Parce qu’elle avait l’air effrayée, parce qu’elle avait l’air de regretter. … Et je la regardais, avant de regarder les deux. « Qu’est ce qui s’est passé ? » Ma voix était douce, un peu rauque, éraillée, par les cigarettes et par l’etranglement récent. Ouais… Ca fait jamais du bien aux cordes vocales. Enfin tant pis. J’allais pas lui faire un procès pour ça, surtout qu’elle avait l’air de vraiment baliser quoi. Ca me prenait au cœur, les femmes en detresse, surtout celles que je connaissais. Et doucement ,je lui attrapais la main pour la rassurer. J’étais peut être qu’une jeune fille de 17 Ans, mais j’avais la maturité d’une femme de 30. Je m’étais fais seule au fond, j’avais été a la fois ma mère et mon enfant… Comprenne qui voudra. Je me comprenais. J’étais probablement la seule d’ailleurs. Mouais ,c’était pas le sujet.

Les deux hommes étaient mort… Et alors qu’elle me parlait, je la croyais. C’était peut être parce que je fixais ses magnifiques yeux. Ou alors parce que je suis tout simplement crédule quand une jolie femme me parle. J’en sais rien. Je suis une romantique, je me prend pour un héros… Je suis une pauvre fille… Et lentement je me penchais pour tâter le pouls des deux hommes. Ils étaient morts. Elle les avait tuée… Je la regardais sans trop comprendre. J’etais fatiguée ce soir, il faut m’excuser… « Wow… » Seule réaction pour le moment… Je réfléchissais vite. Plusieurs solutions, on appelait les aurors, elle était le sujet d’une enquete… Elle perdait sa carrière, et sa vie… Mauvaise solution. Autre solution… On accusait n’importe quel mangemort connu, et paf… Elle était sauvée, mais elle serait témoin dans une affaire qui ne mènerait a rien… Sinon… Moui il fallait que je sois sure quand meme. « Ils t’ont aggressés ? » Après tout… Je la croyais moi. Si elle le disait, si c’était rien que des assassins… Des agresseurs… Je soupirais un peu. Allez Luka sois une femme bordel, prend tes décisions… Ouais… mais c’était mal. Bouarf… De toute façon…

« On peut faire disparaître les corps… Ou bien, fais disparaître toute trace de magie. De toute façon, si ils t’ont aggressés ça doit être deux pauvres gars qui ne manqueront à personne…. » Putain, mais pourquoi je faisais ça… . ? allez savoir. Peut être qu’elle m’aimerait bien comme ça.. ? Ouais, peut être. Je soupirais un peu. Essayons de se changer les idées… « Qu’est ce que tu faisais ici ce soir ?. »

Je suis un agneau blanc, pas si blanc que ça au fond. Je suis à la frontière entre trébucher dans le noir et toucher la lumière. J’ai toujours eu cette dualité. C’est l’insoutenable dualité de ce que je suis. Il y’a la fille qui veut fuir l’obscurité, cette fille qui s’est echappé du sombre et des enfers, en flirtant un enfer plus rougeoyant que noir… Et puis il y’a la fille que le sombre fascine. Je joue avec l’obscurité… Avec cette ombre. Je .. Qu’importait. Et la voir la, cette femme, cette membre du ministère, perdue face à deux corps morts. Je ne pouvais me résoudre à la voir briser sa vie a cause de deux nuisibles. Alors finalement j’avais opté pour la pire des solutions. Au fond peut être que c’était un test, peut être qu’il y’avait un auror caché qui allait sortir et me passer des menottes magiques, parce que j’avais des tendances criminelles. Mais… Ce n’étaient pas des tendances criminelles, j’étais juste… Ca me semblait le choix le plus judicieux. Et au pire quoi.. ? Ils m’empecheraient de faire de la magie. Houlalala…. Ca allait me manquer dites donc. Le ministère de la magie n’etait pas un organisme qui m’effrayait. En tout cas, c’etait bizarre, qu’elle, elle ait peur. Avec sa position au ministère j’aurais pu supposer qu’elle avait des relations qui la … Enfin bref. J’étais la. J’allais l’aider du mieux que je pouvais. Surtout qu’elle était en train de me dire qu’ils l’avaient menacés. Allez, plus d’etats d’ames Luka. Ma vieille tu tombe dans un gros piege…. Tant pis pour les voix intérieures, si je les avais écoutées, je serais la fifille bien aimée de ma mère…

En tout cas elle avait vraiment l’air d’avoir peur. Elle pressait ma main dans la sienne et… et merde quoi ? Pourquoi une adulte, qui plus est, membre du ministère se montrait aussi fragile… Aussi appeurée devant une pauvre gamine de 17 Ans. Non. Ma fierté me disait que c’était parce que j’étais quelqu’un de fort… au final. Et ta fierté te tuera. Ouais… Bah je mourrais fière au moins. Bon allez… Luka, montre à tout le monde et a la belle dame en face de toi que tu es utile… Ah ouais, j’oubliais un petit détail… « On va… On va les trainer dans la ruelle déjà. » Et paf. J’attrapais un des cadavres par les epaules. Beurk. C’était gros, et puis c’était… mou quoi. Ouais comme un gros sac à patate, ou un énorme blob… Bref, voilà, j’en trainais un au bout de la ruelle en attendant qu’elle fasse de meme… Bon, bah c’était le moment de faire un peu la conversation pendant que je réfléchissais… Beurk c’etait pas chouette comme endroit. Des morts… Ouais enfin, la partie Van Hayden en moi devait avoir l’habitude. Après tout, j’etais quand meme différente de mes parents… Moi je ne les avais pas tué. Je ne faisais que rendre un service. Ouais… merci ce que je prenais sur la conscience, pour une putain de femme aux yeux clairs. Bouarf allez, j’aurais peut être un bisous. … Tu me deprime Luka. Tiens, elle est dechainée ma voix ce soir… Huuurg. Je lui avais donc demandé ce qu’elle faisait ici, ca l’avait visiblement perturbée, mais on va mettre ça sur le compte de la peur. Ah tiens, une question qui aurait pu me déranger. Mais non, je me contentais de hausser les epaules. « Tu vas me dénoncer… ? » Au pire… Qu’est ce qu’ils pourraient me faire ? Prevenir mon parents ? Je n’étais plus leur fille… Prevenir mon tuteur légal… ? De 1, j’étais majeure, de 2… elle s’en fichait. Ah, ils pouvaient me renvoyer… Pour avoir… Pour avoir fugué de Poudlard… ? Ouais peut être, mais c’était un week end famille ! Alors j’avais pas vraiment fugué. Bref, j’avais pas envie d’epiloguer la dessus. Je la regardais en souriant un peu. Sans rien rajouter.

Par contre j’avais besoin de parler pour autre chose. Je regardais un peu les corps, puis je prennais un air pensif. « Je n’ai pas ma baguette moi… Alors soit tu peux, bruler les corps, soit on peut… essayer de mettre ça en scène comme si ils s’étaient entretués, et laisser la police moldue les découvrir. » J'avais de ces idées parfois...

J’ai un faible pour les femmes fortes… Mais j’aime les femmes fragiles. J’aime passer pour un héros. Alors oui, la situation me plait sans me plaire. Je crois que j’ai chaviré du mauvais coté d’une barrière qui était facilement franchissable… Tant pis. J’aide Savanah… Belle Savanah… Douce Savanah… Que tu crois Luka… Que tu crois. a transporter les cadavres jusqu'à la ruelle, et on s’echange quelques questions gênantes. Bien sur… Qu’elle ne dira rien, c’est hypocrite comme elle dit… Et je souris un peu. Brave femme. En meme temps… Elle a plus à perdre que moi. J’ai pas grand chose à perdre dans cette vie. C’est pas Alice qui va me déshériter, et pour mes parents… C’est déja fait. Qu’importe. Bien sur… Elle ne dira rien. Alors on peut continuer à regarder ces cadavres et a réfléchir à une solution. Non… Je n’ai pas ma baguette. Je rentrerais à pieds ce soir. Je n’ai pas envie de rentrer. Pour le moment je suis avec elle.

Nous étions arrivées au fond de la ruelle… Rien de spécial à dire. Je lui avouais que je n’avais pas ma baguette, elle me lançait un regard surpris, mais elle ne disait rien. Non, la pauvre… Elle devait être trop… traumatisée par tout ce qui lui était arrivée. C’etait normal. Je la comprenais… Un peu quoi. J’avais proposé des drôles de solution, mais elle me disait que le plus sur était de les bruler. Oui, bien sur… Bonne idée. Alors je la regardais faire un petit incendio… Et voilà que ça sentait le cochon brulé dans la ruelle… Hum… Ouais. On allait pas rester longtemps hein… Elle avait l’air vraiment perturbée de faire ça. Elle aurait du me prêter sa baguette je l’aurais fais moi. Froidement. Sans état d’ames…. A l’exterieur. J’étais juste… blasée à l’interieur, mais ce qui m’aidait à garder la tete froide c’était de me dire que c’etait probablement des assassins, des mauvaises gens. Après tout, on ne s’en prenait pas à une femme seule et fragile si on était pas quelqu’un de mauvais. Surtout en l’attaquant à deux. Ouais. Pas une seule seconde je doutais de son innocence…. Tant pis pour moi si j’avais tort. Mais j’étais persuadée d’avoir raison alors… Voilà. Ils s’embrasaient les cadavres et je la regardais doucement…. Cherchant quelque chose à dire ou a faire pour la rassurer. Machinalement je rattrapais sa main. J’étais une fille très tendre parfois. Et je ne parlais pas des masses … quand je n’avais rien a dire. Enfin… Juste parfois. Il fallait juste se dire qu’elle avait de la chance… La machine à dire n’importe quoi n’avait pas encore explosée. Qu’importait. Je soupirais un peu. L’air était irrespirable. Elle proposait de ne pas rester la. Je souriais. « Partons oui. Le cochon brulé ça n’a jamais été mon truc.. »

Du coup j’avais marché jusqu'au bout de la ruelle, il y’avait un peu plus de circulation par ici… Mais personne ne s‘arretait. En réalité, il y’avait juste un petit groupe de jeunes ivres sur le trottoir d’en face. Rien de bien transcendant. Enfin… Je… ne savais plus vraiment quoi dire. Alors je la regardais. Ouais… Elle avait l’air bien choquée la pauvre.

« Tu devrais rentrer chez toi… Tu veux que je te raccompagne ? Non, c’est stupide, tu n’as qu’a transplaner… Oublie. » finalement… Ca y’était, je commençais à parler pour ne rien dire. Tsss Luka. Je me décevais toute seule. Ouais… Bon. On allait faire passer ça sur le malaise par rapport au fait que je venais de regarder deux cadavres flamber et que je n’avais montré aucune emotions. J’allais avoir besoin d’une bonne thérapie. Et j’en connaissais une géniale… D’ailleurs, y’avait un peu à trois rues de la. Okay c’était decidé. « Je… Je dois te laisser ! Fais attention à toi.. » Et hopla, je lui faisais un petit bisous tout chaste sur la joue, et je me mettais à marcher assez vite… Le martini, ça n’attendait pas après tout.