Evence Erwen Lalfin

Age : 15 ans Date et lieu de naissance: né à Toulouse le 7 janvier Nationalité : française et anglaise Ascendance : sang mêlé Orientation Sexuelle : homosexuel Statut : célibataire Baguette : 23 cm, bois de cerisier et aile de biliwing Patronus : corbeau Maison / Ancienne Maison serdaigle Metier / Année d'étude 5 ème année Don Spécial nada Personnalité de votre avatar : robbie wadge On le reconnait très facilement lorsqu'il se met à parler car il manque encore de praticité en ce qui concerne l'anglais, il fait des fautes de langue et de vocabulaire, échangeant certains mots anglais en mots français ect ... en revanche son accent est pour le moins bon tant qu'il ne se retrouve pas en position qui le met mal à l'aise ! Autrement pas de chose à détailler, pas de tatouage ou piercing!

Ma foi je suis un jeune homme beau intelligent, drôle, malin et modeste pour terminer de 20 ans étudiant à la fac en deuxième année, franaçais mon numéro de sécurité sociale est le .... bref le code c'est : prenez garde papy voldy es tun pervers.

Vous & ce que vous êtes

« c'est juste un vent de nostalgie mamie, qui s'essouffle en accord mineur ... »

Allongé dans son lit, le jeune Evence écoutait cette symphonie d'Alzeihmer, repensant à l'état de sa mère qui prise d'une folie incandescente depuis quelques années maintenant n'avait plus eu la possibilité de se débrouiller seule. Vivant en France depuis sa naissance, Evence était de ces rares français qui ne râlaient que rarement, étudiant studieux mais pour le moins insatisfait de toute ses relations sociales où jusqu'à présent il ne put trouver de faibles amitiés qui le laissèrent vite tomber lorsqu'il dut partir à Londres afin de retrouver son père qui y vivait pour son travail. La situation de famille était assez délicate mais il n'en souffrait en rien, son père passait son temps à travailler il fallait dire que leur situation financière était loin d'être de grande envergure. Il était le fils unique d'une famille peuplée de nombreux membres : cousins, cousines, oncles ect... qui furent tous d'origine anglaise. Il s'entendait plutôt bien avec la majeure partie de sa famille mais n'arrivait que très peu à communiquer de façon raisonnable avec ces derniers. Pour une simple raison, il ne parlait pas extrêmement bien l'anglais. La dynamique de cette langue le laissait d'autant plus perplexe lorsqu'il discuter avec son cousin éloigné d'origine écossaise dont l'accent impossible le mettait souvent dans une situation d'incompréhension mutuelle.

Enfin bref vous l'aurez compris, le jeune homme de nature tout de même il faut le préciser légèrement solitaire, se plaisait à se retrouver dans une nouvelle école aux nouveaux liens sociaux possibles. Il allait en faire des belles rencontres, du moins il l'espérait tout autant qu'il en avait la trouille. Il lui était difficile d'être à l'aise en présence de personnes lui étant tout à fait étrangères. Son accent se dégradait alors et son manque de vocabulaire s'accentuait à cet instant précis. Certains trouvaient ce comportement tout à fait ridicule tandis que d'autres le trouvait mignon voir chou ! C'était dans ces moments là qu'il espérait le plus possible que le temps s'arrêta pour qu'il puisse reprendre son souffle et réfléchir à ses phrases de manière plus constructive.

Bientôt il se leva de son lit, une autre chanson passa, un tout autre style témoignant de son ouverture d'esprit et de son sens du rythme, le pied à terre il battait la mesure tout en trifouillant les papiers qui traînaient sur son bureau. Il chercha l'instrument du sorcier, sa baguette magique. Il la tapota deux trois fois sur son bureau pour enlever la poussière qui s'était condensée sur celle-ci, le déménagement avait été long et éprouvant de nombreux cartons cachés sous son lit n'avaient pas encore été vidé. Dans un accès de folie maniaque brute, il en attrapa un, s'assit à même le sol et commença à le vider de son contenu.

« Quand je marche, je marche, quand je dors, je dors et quand je chante, je chante je m'abandonne et je t'oublie... »

expliquait en mélodie Camille une chanteuse que sa mère avait apprécié pendant sa période d'hospitalisation. Evence tournait et retourner les objets qu'il sortait du carton au rythme de la chanson. Sa main vint à déceler un gros bouquin aux allures de grimoire flétris. Il s'agissait du journal qu'il avait tenu depuis le début des ennuis pour sa mère. De nombreux petits dessins sans réels formes y prenaient place ainsi que des textes rendant compte des sentiments qu'il eut éprouvé jusque là, preuve de sa nullité en ce qui concernait le dessin mais de sa maturité pour ce qui relevait de son style d'écriture. La photo d'un beau jeune homme aux cheveux d'or était glissé entre les pages, visage d'un amour qu'il ne put poursuivre en raison de son déménagement. Il le rangea dans le tiroir de sa commode, une voix venait de l'appeler, il était l'heure d'aller manger, il s'y dirigea promptement refermant la porte de sa chambre derrière lui comme le sanctuaire impénétrable de l'adolescent.

"le sex appeal de la policière me fait mouiller devant derrière le sex appeal de la policière"
continua la chaine hifi dans son dos.

Discret, enjoué, autonome, manquant de compassion de temps à autre. En tant que précision, il a fait ses quatre premières années à beauxbatons puis est venu à Poudlard et rentre cette année.