Sterling Andense ballade sur la Carte du MaraudeurSadism is my world ... just for you
Messages : 173 Date d'inscription : 03/02/2012
| Sujet: hey tête de citrouille fais gaffe ! (pv kennedy & orphéa) Lun 6 Fév - 11:02 | |
| C'était un beau matin d'hiver, alors que la neige tournoyait dans l'air effectuant une danse brouillon et incorrecte que tout le monde considérait comme magnifique. Eh ben pas Sterling, lui se fichait éperdument du vent et de la neige, ce qu'il ne voyait qu'à travers ces éléments naturels c'était un jour encore pourri à ne pas pouvoir sortir de l'école. Il n'était pas si grognon que ça aujourd'hui malgré le froid et les fuites que son dortoir comportait. Un trou dans le plafond, juste sous le lac noir s'était retrouvé avec une fissure à la suite d'un sortilège qui aurait ricoché pendant la nuit, juste au dessus de son lit. Il reçut plusieurs gouttes d'eau et déplaça son lit dérangeant toute la maison serpentard. Sterling en engueula plusieurs qui grommelait et ces derniers se turent les uns après les autres, vanne après vanne, soulevant leurs points faibles et leurs petits secrets. Il avait ensuite dormi comme un bébé, son lit collé à celui d'un autre guss dans le dortoir.
Voilà pourquoi il ne semblait pas être des plus heureux mais pas non plus malheureux. Il s'était donné pour objectif ce matin de se rendre dehors malgré la neige qui tombait, il devait sortir ou ses poumons allaient finir par éclater comme un vieux ballon de baudruche. Il sortit donc de son dortoir d'une manière fière et assurée, sortit de la salle commune et se retrouva au dehors comme un grand garçon. Son bonnet sur la tête, sa frange pendante juste au niveau de ses yeux, il se rendit dans les escaliers où la première réflexion de la journée fut lancée. Un pauvre petit serdaigle en culotte courte de deux ou troisième année ne se remit que plus tardivement dans la journée lorsqu'il le recroisa.
"la gay pride c'est pas aujourd'hui mec"
Sterling termina son ascension et se retrouva dans le grand hall, exactement où il voulait se trouvait alors. Vêtu de sa grande cape noire ornée du blason vert et argent de sa maison, le jeune homme enfila les gants qu'il tenait de sa main droite et ajusta cette magnifique écharpe qui pendouillait de sa poche, un magnifique modèle dont la coupe et les broderies montraient bien la négligence avec laquelle l'école traitait ses élèves, ce n'était même pas du synthétique, on aurait dit du foin. |
|